La rencontre a rassemblé des responsables institutionnels, des chercheurs, des étudiants et des acteurs de la société civile autour d’un objectif partagé : faire de la culture un levier concret d’inclusion des jeunes.
Une ouverture placée sous le signe de l’engagement
La séance inaugurale, présidée par la professeure Rokia Achemal, vice-présidente du Conseil régional, a donné le ton. Après les allocutions des représentants du Conseil, du Ministère et de l’Association, les conférences inaugurales ont apporté un éclairage théorique et prospectif sur la place de la culture dans les politiques de jeunesse.
Le professeur Mohamed Noureddine Affaya, membre de l’Académie du Royaume du Maroc, a mis en lumière les faits et les défis liés à l’inclusion culturelle des jeunes.
M. Hicham Abkari, directeur des Arts au sein du ministère, a dressé un état des lieux des industries culturelles et créatives au Maroc, tout en évoquant des projets d’avenir.
Le professeur Abdelkader Sabil, doyen de la Faculté des Lettres de Settat, a centré son intervention sur les enjeux spécifiques à la région Casablanca-Settat.
Trois ateliers pour une jeunesse actrice
L’après-midi du 21 juin a été consacré à trois ateliers participatifs, chacun modéré et rapporté par des étudiants des universités de la région :
Tout au long de la rencontre, la voix des jeunes a été placée au centre des échanges. Des étudiants issus des universités Hassan II, Hassan Ier et Chouaib Doukkali ont animé les débats et rédigé les synthèses. La rencontre s’est conclue par une session de recommandations collectives, suivie d’un dîner en l’honneur des participants.
Cette deuxième édition a confirmé la nécessité de faire de la culture un vecteur transversal de cohésion sociale, d’émancipation individuelle et de développement territorial, tout en appelant à une réelle mobilisation des pouvoirs publics, du secteur privé et du tissu associatif.
Une ouverture placée sous le signe de l’engagement
La séance inaugurale, présidée par la professeure Rokia Achemal, vice-présidente du Conseil régional, a donné le ton. Après les allocutions des représentants du Conseil, du Ministère et de l’Association, les conférences inaugurales ont apporté un éclairage théorique et prospectif sur la place de la culture dans les politiques de jeunesse.
Le professeur Mohamed Noureddine Affaya, membre de l’Académie du Royaume du Maroc, a mis en lumière les faits et les défis liés à l’inclusion culturelle des jeunes.
M. Hicham Abkari, directeur des Arts au sein du ministère, a dressé un état des lieux des industries culturelles et créatives au Maroc, tout en évoquant des projets d’avenir.
Le professeur Abdelkader Sabil, doyen de la Faculté des Lettres de Settat, a centré son intervention sur les enjeux spécifiques à la région Casablanca-Settat.
Trois ateliers pour une jeunesse actrice
L’après-midi du 21 juin a été consacré à trois ateliers participatifs, chacun modéré et rapporté par des étudiants des universités de la région :
- Atelier 1 : Les jeunes et les nouvelles formes d’expression culturelle.
Les participants ont exploré la diversité des langages artistiques contemporains et les réponses institutionnelles en matière d’accompagnement. - Atelier 2 : Le regard des jeunes sur leur propre inclusion
- Les débats ont mis en lumière un sentiment partagé de marginalisation culturelle, mais aussi un fort désir d’implication et de reconnaissance.
- Atelier 3 : Les défis et perspectives des politiques culturelles en direction de la jeunesse
Les intervenants ont proposé des pistes concrètes : amélioration des dispositifs d’accès, partenariats innovants, valorisation des initiatives locales.
Tout au long de la rencontre, la voix des jeunes a été placée au centre des échanges. Des étudiants issus des universités Hassan II, Hassan Ier et Chouaib Doukkali ont animé les débats et rédigé les synthèses. La rencontre s’est conclue par une session de recommandations collectives, suivie d’un dîner en l’honneur des participants.
Cette deuxième édition a confirmé la nécessité de faire de la culture un vecteur transversal de cohésion sociale, d’émancipation individuelle et de développement territorial, tout en appelant à une réelle mobilisation des pouvoirs publics, du secteur privé et du tissu associatif.