Formation obligatoire et sanctions pour encadrer le secteur
Les gardiens de voitures à Casablanca vont devoir se plier à de nouvelles règles strictes. Formation obligatoire, sanctions administratives et contrôle renforcé sont au programme pour lutter contre les abus et protéger les automobilistes.
La mairie de Casablanca a décidé de mettre fin au chaos qui règne autour des gardiens de voitures. Trop souvent, les automobilistes se plaignent d’extorsions, de tarifs abusifs ou encore d’agressions verbales. Face à cette situation devenue insoutenable, les autorités locales ont annoncé une série de mesures pour encadrer cette activité.
Désormais, les gardiens devront suivre une formation obligatoire pour obtenir une autorisation officielle. Les contrevenants, eux, risquent des sanctions administratives sévères, allant jusqu’au retrait de leur droit d’exercer. Cette décision vise à réguler un secteur où règne encore trop souvent l’informel et à rétablir un climat de confiance entre gardiens et usagers.
Pourquoi cette décision est-elle importante ? À Casablanca, trouver une place de parking est déjà un casse-tête, mais les abus des gardiens de voitures aggravent encore plus la situation. Entre les tarifs souvent arbitraires et les comportements agressifs de certains, les automobilistes se sentent piégés.
Cette réforme s’inscrit dans une volonté plus large de moderniser les services urbains et de renforcer la sécurité des citoyens. Pour les Casablancais, c’est un pas en avant vers une ville mieux organisée et plus respectueuse des droits des usagers.
Les réactions ne se sont pas fait attendre sur les réseaux sociaux. Beaucoup saluent cette initiative, espérant enfin une fin aux "gardes mafieux" qui imposent leur loi dans certains quartiers. "C’est pas trop tôt ! On en avait marre de payer 20 dirhams pour 10 minutes de stationnement", commente un internaute.
D’autres, cependant, craignent que cette réforme ne soit pas appliquée correctement. "Encore une belle annonce, mais sans contrôle, ça ne changera rien", déplore un habitant du Maârif. Du côté des gardiens eux-mêmes, certains dénoncent une stigmatisation de leur activité et demandent à être mieux intégrés dans le processus de réforme.
La balle est désormais dans le camp des autorités locales pour faire appliquer ces nouvelles règles. Les Casablancais, eux, attendent de voir si cette réforme tiendra ses promesses ou si elle restera lettre morte. Une chose est sûre : la ville blanche ne peut plus se permettre de laisser ce problème s’éterniser.
La mairie de Casablanca a décidé de mettre fin au chaos qui règne autour des gardiens de voitures. Trop souvent, les automobilistes se plaignent d’extorsions, de tarifs abusifs ou encore d’agressions verbales. Face à cette situation devenue insoutenable, les autorités locales ont annoncé une série de mesures pour encadrer cette activité.
Désormais, les gardiens devront suivre une formation obligatoire pour obtenir une autorisation officielle. Les contrevenants, eux, risquent des sanctions administratives sévères, allant jusqu’au retrait de leur droit d’exercer. Cette décision vise à réguler un secteur où règne encore trop souvent l’informel et à rétablir un climat de confiance entre gardiens et usagers.
Pourquoi cette décision est-elle importante ? À Casablanca, trouver une place de parking est déjà un casse-tête, mais les abus des gardiens de voitures aggravent encore plus la situation. Entre les tarifs souvent arbitraires et les comportements agressifs de certains, les automobilistes se sentent piégés.
Cette réforme s’inscrit dans une volonté plus large de moderniser les services urbains et de renforcer la sécurité des citoyens. Pour les Casablancais, c’est un pas en avant vers une ville mieux organisée et plus respectueuse des droits des usagers.
Les réactions ne se sont pas fait attendre sur les réseaux sociaux. Beaucoup saluent cette initiative, espérant enfin une fin aux "gardes mafieux" qui imposent leur loi dans certains quartiers. "C’est pas trop tôt ! On en avait marre de payer 20 dirhams pour 10 minutes de stationnement", commente un internaute.
D’autres, cependant, craignent que cette réforme ne soit pas appliquée correctement. "Encore une belle annonce, mais sans contrôle, ça ne changera rien", déplore un habitant du Maârif. Du côté des gardiens eux-mêmes, certains dénoncent une stigmatisation de leur activité et demandent à être mieux intégrés dans le processus de réforme.
La balle est désormais dans le camp des autorités locales pour faire appliquer ces nouvelles règles. Les Casablancais, eux, attendent de voir si cette réforme tiendra ses promesses ou si elle restera lettre morte. Une chose est sûre : la ville blanche ne peut plus se permettre de laisser ce problème s’éterniser.












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