L’inaction climatique tue
L’OMS tire la sonnette d’alarme : chaque année, plus de 11 millions de personnes meurent à cause des effets directs du changement climatique.
Et non, ce n’est pas une statistique abstraite, c’est un signal rouge pour nos villes, nos campagnes et nos familles.
Quand la chaleur devient mortelle
Au Maroc, pensez à nos marchés en plein soleil ou aux taxis bondés de Casablanca et Marrakech : cette chaleur n’est pas juste inconfortable, elle est toxique.
Les vagues de chaleur aggravent l’insécurité alimentaire : 124 millions de personnes supplémentaires dans le monde souffrent désormais de faim modérée ou sévère, et nos récoltes locales, elles, ne sont pas épargnées.
L’addition humaine et économique du réchauffement
Pendant ce temps, les subventions aux énergies fossiles ont explosé, laissant nos systèmes de santé fragiles face à l’urgence.
Ici à la maison, on râle quand la facture d’électricité grimpe, mais imaginez l’impact quand la chaleur et la pollution accélèrent les maladies neurologiques et respiratoires. C’est la preuve que l’inaction coûte non seulement des vies, mais aussi un bras à nos économies.
Agir localement : petites habitudes, grands effets
Heureusement, tout n’est pas perdu. Les énergies renouvelables progressent, et le secteur de la santé réduit déjà son empreinte carbone.
Chez soi, on peut aussi faire la différence : réduire la consommation d’eau, privilégier les légumes de saison du marché, composter les déchets organiques, éviter les trajets inutiles en voiture et soutenir les initiatives vertes locales.
Même une petite action peut sauver des vies. Alors, la prochaine fois que tu ouvres le robinet ou que tu choisis un transport, pense que protéger la planète, c’est aussi protéger tes proches.
Et qui sait, si on s'y met tous , peut-être que nos enfants pourront encore se balader sous le soleil marocain sans craindre pour leur santé.












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