Une étude menée par l’Université de Californie à Los Angeles sur près de 20 000 Américains montre que les femmes travaillant en freelance présentent moins de facteurs de risque cardiovasculaire, comme le surpoids, le manque de sommeil ou la sédentarité, par rapport aux salariées.

Les hommes freelances bénéficient aussi d’avantages, mais moins marqués et variables selon l’ethnie.

Ces résultats, basés sur des données biologiques, suggèrent que l’autonomie et la flexibilité du travail indépendant peuvent jouer un rôle protecteur sur la santé, surtout chez les femmes, mais nécessitent encore des recherches approfondies.