Une offensive militaire et un plan de déplacement forcé
Le gouvernement israélien a validé un plan de "conquête" de la bande de Gaza, avec des frappes intensifiées qui ont déjà fait 19 morts ce lundi, selon les autorités locales. Mais malgré les bombardements, la résistance palestinienne ne faiblit pas.
Dans la nuit de dimanche à lundi, le cabinet israélien a approuvé un plan militaire visant à "conquérir" Gaza, selon des sources officielles israéliennes. Ce plan inclut également des mesures controversées, telles que la promotion du "départ volontaire" des Gazaouis, une formule qui rappelle tristement les tentatives répétées de déplacement forcé des populations palestiniennes.
Ce lundi, les frappes israéliennes ont encore frappé durement la bande de Gaza, causant la mort de 19 personnes, dont des femmes et des enfants, et faisant des dizaines de blessés, selon la Défense civile palestinienne. Des quartiers entiers ont été réduits en cendres, tandis que les hôpitaux, déjà débordés, peinent à soigner les blessés.
Mais malgré cette intensification des attaques, la résistance palestinienne continue de répondre par des tirs de roquettes et des mobilisations populaires, affirmant que "Gaza ne se rendra jamais".
Cette offensive s’inscrit dans un contexte de tensions extrêmes entre Israël et la Palestine, marqué par des décennies d’occupation, de blocus et de violations des droits humains. Depuis plusieurs semaines, Gaza est sous un feu incessant, alors que les dirigeants israéliens multiplient les déclarations bellicistes, visant à écraser toute forme de résistance palestinienne.
Pour les Palestiniens, ce plan de "conquête" est une tentative de nettoyage ethnique déguisée, visant à vider Gaza de ses habitants pour renforcer l’occupation israélienne. Les organisations internationales, bien que promptes à dénoncer les violations des droits humains, peinent à imposer des sanctions concrètes contre Israël, laissant les Gazaouis seuls face à l’une des armées les plus puissantes au monde.
Au Maroc, où la cause palestinienne est profondément ancrée dans les cœurs, cette escalade suscite colère et indignation. De nombreuses voix rappellent que Gaza est un symbole de résistance non seulement pour les Palestiniens, mais pour tous les peuples épris de liberté et de justice.
Les réactions internationales restent timides face à cette nouvelle escalade. Les Nations Unies appellent à la retenue, tandis que des pays comme la Turquie et l’Iran condamnent fermement ce qu’ils qualifient de "crimes de guerre".
Sur les réseaux sociaux marocains, les hashtags #FreePalestine et #StopTheGenocide explosent. Les internautes expriment leur solidarité avec Gaza, partageant des images poignantes des destructions causées par les frappes israéliennes. Plusieurs rassemblements de soutien sont prévus dans les grandes villes marocaines dans les jours à venir.
Un habitant de Gaza témoigne : "Ils veulent nous chasser de notre terre, mais nous resterons. Gaza est notre maison, notre dignité. Nous n’abandonnerons jamais."
Alors que les bombardements s’intensifient et que le plan israélien de "conquête" avance, la résistance palestinienne continue de tenir bon. La question reste : combien de temps la communauté internationale restera-t-elle silencieuse face à ces crimes ? Gaza résistera-t-elle seule, encore une fois, sous les yeux du monde ?
Dans la nuit de dimanche à lundi, le cabinet israélien a approuvé un plan militaire visant à "conquérir" Gaza, selon des sources officielles israéliennes. Ce plan inclut également des mesures controversées, telles que la promotion du "départ volontaire" des Gazaouis, une formule qui rappelle tristement les tentatives répétées de déplacement forcé des populations palestiniennes.
Ce lundi, les frappes israéliennes ont encore frappé durement la bande de Gaza, causant la mort de 19 personnes, dont des femmes et des enfants, et faisant des dizaines de blessés, selon la Défense civile palestinienne. Des quartiers entiers ont été réduits en cendres, tandis que les hôpitaux, déjà débordés, peinent à soigner les blessés.
Mais malgré cette intensification des attaques, la résistance palestinienne continue de répondre par des tirs de roquettes et des mobilisations populaires, affirmant que "Gaza ne se rendra jamais".
Cette offensive s’inscrit dans un contexte de tensions extrêmes entre Israël et la Palestine, marqué par des décennies d’occupation, de blocus et de violations des droits humains. Depuis plusieurs semaines, Gaza est sous un feu incessant, alors que les dirigeants israéliens multiplient les déclarations bellicistes, visant à écraser toute forme de résistance palestinienne.
Pour les Palestiniens, ce plan de "conquête" est une tentative de nettoyage ethnique déguisée, visant à vider Gaza de ses habitants pour renforcer l’occupation israélienne. Les organisations internationales, bien que promptes à dénoncer les violations des droits humains, peinent à imposer des sanctions concrètes contre Israël, laissant les Gazaouis seuls face à l’une des armées les plus puissantes au monde.
Au Maroc, où la cause palestinienne est profondément ancrée dans les cœurs, cette escalade suscite colère et indignation. De nombreuses voix rappellent que Gaza est un symbole de résistance non seulement pour les Palestiniens, mais pour tous les peuples épris de liberté et de justice.
Les réactions internationales restent timides face à cette nouvelle escalade. Les Nations Unies appellent à la retenue, tandis que des pays comme la Turquie et l’Iran condamnent fermement ce qu’ils qualifient de "crimes de guerre".
Sur les réseaux sociaux marocains, les hashtags #FreePalestine et #StopTheGenocide explosent. Les internautes expriment leur solidarité avec Gaza, partageant des images poignantes des destructions causées par les frappes israéliennes. Plusieurs rassemblements de soutien sont prévus dans les grandes villes marocaines dans les jours à venir.
Un habitant de Gaza témoigne : "Ils veulent nous chasser de notre terre, mais nous resterons. Gaza est notre maison, notre dignité. Nous n’abandonnerons jamais."
Alors que les bombardements s’intensifient et que le plan israélien de "conquête" avance, la résistance palestinienne continue de tenir bon. La question reste : combien de temps la communauté internationale restera-t-elle silencieuse face à ces crimes ? Gaza résistera-t-elle seule, encore une fois, sous les yeux du monde ?