Dès l’entame de la rencontre, disputée jeudi soir à Doha, les Marocains imposent leur tempo. Dominateurs dans le jeu et entreprenants offensivement, ils sont rapidement récompensés par un moment de pur génie. À la 4e minute, Oussama Tannane surprend tout le monde en décochant une frappe magistrale depuis près de 50 mètres. Le ballon, flottant et parfaitement ajusté, finit sa course au fond des filets, laissant le gardien jordanien Yazeed Abou Leila sans réaction.
Secouée par ce but précoce, la Jordanie tente de se réorganiser, d’autant que son portier se blesse dans la foulée, nécessitant l’intervention du staff médical. Malgré cela, le Maroc continue d’appuyer. À la 11e minute, Ayoub El Kaabi Berkaoui passe tout près du break, mais Abou Leila s’illustre d’un bel arrêt pour maintenir son équipe en vie.
Les Lions de l’Atlas confirment leur mainmise sur la rencontre durant la première demi-heure, multipliant les offensives et le pressing haut. À cinq minutes de la pause, Tannane est encore tout proche de doubler la mise, mais le défenseur Issam Smeeri sauve la Jordanie in extremis sur sa ligne (40e). Solide et bien en place, le Maroc termine la première période sans être réellement inquiété.
Au retour des vestiaires, le visage de la Jordanie change. Plus agressifs et plus entreprenants, les hommes de Jamal Sellami trouvent l’égalisation dès la 47e minute. Ali Alwan surgit dans la surface et place une tête imparable, relançant totalement la finale et mettant le feu au stade de Lusail.
Le match devient alors plus équilibré et plus tendu. Les occasions se multiplient de part et d’autre, jusqu’au tournant de la 63e minute. Un tir jordanien contré touche la main d’un défenseur marocain. Après recours à la VAR, l’arbitre accorde un penalty. Ali Alwan se charge de la sentence et transforme sans trembler, offrant l’avantage à la Jordanie (67e).
Dos au mur, le Maroc tente de réagir mais manque de précision dans les derniers mètres. La pression s’intensifie toutefois dans le dernier quart d’heure. À la 80e minute, Munir Chouiar frôle l’égalisation d’une lourde frappe qui passe tout près de la transversale. Deux minutes plus tard, Hamdallah, fraîchement entré en jeu, s’illustre par une percée individuelle avant de voir son centre finir dans le petit filet.
La délivrance intervient finalement à la 86e minute. À l’issue d’une action confuse dans la surface jordanienne, Hamdallah pousse le ballon au fond des filets. Après consultation de la VAR, le but est validé, envoyant les deux équipes en prolongation.
Porté par son élan, le Maroc fait la différence dans le temps additionnel. À la 100e minute, Abderrazak Hamdallah signe un doublé décisif d’un réalisme implacable, ne laissant aucune chance au gardien Abou Leila. Solides et combatifs jusqu’au coup de sifflet final, les Lions de l’Atlas résistent aux dernières tentatives jordaniennes et conservent leur avantage (3-2).
Au terme d’une finale haletante et riche en rebondissements, le Maroc s’adjuge le titre au bout de l’effort, confirmant son mental d’acier et offrant à ses supporters un sacre arabe inoubliable.
Secouée par ce but précoce, la Jordanie tente de se réorganiser, d’autant que son portier se blesse dans la foulée, nécessitant l’intervention du staff médical. Malgré cela, le Maroc continue d’appuyer. À la 11e minute, Ayoub El Kaabi Berkaoui passe tout près du break, mais Abou Leila s’illustre d’un bel arrêt pour maintenir son équipe en vie.
Les Lions de l’Atlas confirment leur mainmise sur la rencontre durant la première demi-heure, multipliant les offensives et le pressing haut. À cinq minutes de la pause, Tannane est encore tout proche de doubler la mise, mais le défenseur Issam Smeeri sauve la Jordanie in extremis sur sa ligne (40e). Solide et bien en place, le Maroc termine la première période sans être réellement inquiété.
Au retour des vestiaires, le visage de la Jordanie change. Plus agressifs et plus entreprenants, les hommes de Jamal Sellami trouvent l’égalisation dès la 47e minute. Ali Alwan surgit dans la surface et place une tête imparable, relançant totalement la finale et mettant le feu au stade de Lusail.
Le match devient alors plus équilibré et plus tendu. Les occasions se multiplient de part et d’autre, jusqu’au tournant de la 63e minute. Un tir jordanien contré touche la main d’un défenseur marocain. Après recours à la VAR, l’arbitre accorde un penalty. Ali Alwan se charge de la sentence et transforme sans trembler, offrant l’avantage à la Jordanie (67e).
Dos au mur, le Maroc tente de réagir mais manque de précision dans les derniers mètres. La pression s’intensifie toutefois dans le dernier quart d’heure. À la 80e minute, Munir Chouiar frôle l’égalisation d’une lourde frappe qui passe tout près de la transversale. Deux minutes plus tard, Hamdallah, fraîchement entré en jeu, s’illustre par une percée individuelle avant de voir son centre finir dans le petit filet.
La délivrance intervient finalement à la 86e minute. À l’issue d’une action confuse dans la surface jordanienne, Hamdallah pousse le ballon au fond des filets. Après consultation de la VAR, le but est validé, envoyant les deux équipes en prolongation.
Porté par son élan, le Maroc fait la différence dans le temps additionnel. À la 100e minute, Abderrazak Hamdallah signe un doublé décisif d’un réalisme implacable, ne laissant aucune chance au gardien Abou Leila. Solides et combatifs jusqu’au coup de sifflet final, les Lions de l’Atlas résistent aux dernières tentatives jordaniennes et conservent leur avantage (3-2).
Au terme d’une finale haletante et riche en rebondissements, le Maroc s’adjuge le titre au bout de l’effort, confirmant son mental d’acier et offrant à ses supporters un sacre arabe inoubliable.












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