La première, c’est l’arrogance de la majorité absolue.
La deuxième erreur, plus insidieuse, fut la déconnexion.
Au lieu d’y voir un signal, le gouvernement y a vu une menace. Or, gouverner, ce n’est pas sécuriser, c’est comprendre. Le Maroc d’aujourd’hui n’est pas celui des années 2000 : il est plus connecté, plus lucide, plus impatient. L’ère du pouvoir vertical est terminée. Et Akhennouch ne l’a pas vu venir.
La troisième erreur est psychologique.
Derrière le storytelling, le Maroc a vu la hausse des prix, la dégradation des services publics, la fuite des jeunes talents, et surtout, un sentiment d’abandon. Plus le gouvernement contrôlait sa communication, plus il perdait sa crédibilité. Plus il se fermait, plus il s’isolait. La paranoïa du contrôle total a engendré une perte de confiance totale.
Ainsi s’écrit la fin politique d’Aziz Akhennouch :
PAR RACHID BOUFOUS/FACEBOOK.COM












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