Ce prestigieux prix, décerné par le Centre arabe de littérature géographique « Irtyad El Afaq », célèbre les contributions exceptionnelles des chercheurs et écrivains dans ce domaine. Cette année, les chercheurs marocains se sont particulièrement distingués, décrochant plusieurs récompenses dans différentes catégories, confirmant ainsi leur rôle prépondérant dans l’enrichissement de ce genre littéraire.
Dans la catégorie « voyage vérifié », trois chercheurs marocains ont été récompensés ex-aequo. Abdelhadi Kadioui a été salué pour son étude approfondie du récit d’Abu Abbas El Jazouli Al Hachtouki, intitulé "Le voyage d’Al Hachtouki". Houria Rifi, quant à elle, a été honorée pour son analyse de l’œuvre de Mohamed El Hajouji Damnati, "Voyage au Hijaz". Enfin, Mohamed El Andaloussi a reçu le prix pour son travail sur "Le voyage mecquois France-Hijaz-Algérie" d’Ahmed Ibn Al Ayachi Skirj. Ces trois chercheurs ont su mettre en lumière des œuvres historiques qui témoignent des riches traditions de voyage dans le monde arabe.
La domination marocaine ne s’arrête pas là. Dans la catégorie « études », Abdelaziz Jadir a été primé pour son travail sur "Le voyage américain à Tanger", une analyse qui explore les interactions culturelles entre le Maroc et les États-Unis. Mohamed Naddam a quant à lui reçu une distinction pour son étude intitulée "Les voyageurs marocains et la France à l’ère du Protectorat", tandis qu’Abderrahman Temmara a été récompensé pour son œuvre "Échos de scènes : Formation des émotions dans le voyage contemporain". Ces contributions démontrent l’intérêt croissant pour l’étude des récits de voyage en tant que miroir des dynamiques historiques et culturelles.
D’autres lauréats internationaux ont également été mis à l’honneur. Dans la catégorie « voyage traduit », le Jordanien Issam Mohammed Al-Shahadat a été primé pour sa traduction du classique de Constantin François Volney, "Voyage en Égypte et en Syrie (1783-1785)". En parallèle, le Libanais Issa Makhlouf et l’Égyptien Mohammed Salem Abada ont été distingués pour leurs œuvres dans la catégorie « voyage contemporain ».
Nouri Al-Jarrah, directeur général du Centre arabe de littérature géographique, a salué la diversité des œuvres en compétition cette année, soulignant leur contribution à l’enrichissement du patrimoine littéraire. Le poète Mohamed Ahmed Souidi a également mis en lumière le rôle pionnier des chercheurs marocains dans ce domaine, rappelant que le Maroc accorde depuis longtemps une place importante à la littérature de voyage.
Les œuvres primées seront publiées par la Maison d’édition « Dar Souidi » en partenariat avec des institutions renommées telles que la Fondation arabe pour les études et l’édition à Beyrouth et Dar Al-Mutawassit à Milan. La cérémonie de remise des prix se tiendra en deux temps, à Rabat et Abou Dhabi, renforçant ainsi l’écho international de cet événement.
Dans la catégorie « voyage vérifié », trois chercheurs marocains ont été récompensés ex-aequo. Abdelhadi Kadioui a été salué pour son étude approfondie du récit d’Abu Abbas El Jazouli Al Hachtouki, intitulé "Le voyage d’Al Hachtouki". Houria Rifi, quant à elle, a été honorée pour son analyse de l’œuvre de Mohamed El Hajouji Damnati, "Voyage au Hijaz". Enfin, Mohamed El Andaloussi a reçu le prix pour son travail sur "Le voyage mecquois France-Hijaz-Algérie" d’Ahmed Ibn Al Ayachi Skirj. Ces trois chercheurs ont su mettre en lumière des œuvres historiques qui témoignent des riches traditions de voyage dans le monde arabe.
La domination marocaine ne s’arrête pas là. Dans la catégorie « études », Abdelaziz Jadir a été primé pour son travail sur "Le voyage américain à Tanger", une analyse qui explore les interactions culturelles entre le Maroc et les États-Unis. Mohamed Naddam a quant à lui reçu une distinction pour son étude intitulée "Les voyageurs marocains et la France à l’ère du Protectorat", tandis qu’Abderrahman Temmara a été récompensé pour son œuvre "Échos de scènes : Formation des émotions dans le voyage contemporain". Ces contributions démontrent l’intérêt croissant pour l’étude des récits de voyage en tant que miroir des dynamiques historiques et culturelles.
D’autres lauréats internationaux ont également été mis à l’honneur. Dans la catégorie « voyage traduit », le Jordanien Issam Mohammed Al-Shahadat a été primé pour sa traduction du classique de Constantin François Volney, "Voyage en Égypte et en Syrie (1783-1785)". En parallèle, le Libanais Issa Makhlouf et l’Égyptien Mohammed Salem Abada ont été distingués pour leurs œuvres dans la catégorie « voyage contemporain ».
Nouri Al-Jarrah, directeur général du Centre arabe de littérature géographique, a salué la diversité des œuvres en compétition cette année, soulignant leur contribution à l’enrichissement du patrimoine littéraire. Le poète Mohamed Ahmed Souidi a également mis en lumière le rôle pionnier des chercheurs marocains dans ce domaine, rappelant que le Maroc accorde depuis longtemps une place importante à la littérature de voyage.
Les œuvres primées seront publiées par la Maison d’édition « Dar Souidi » en partenariat avec des institutions renommées telles que la Fondation arabe pour les études et l’édition à Beyrouth et Dar Al-Mutawassit à Milan. La cérémonie de remise des prix se tiendra en deux temps, à Rabat et Abou Dhabi, renforçant ainsi l’écho international de cet événement.