Ce n’est pas nécessaire en football pour essentiellement deux raisons :
• La règle du Hors-jeu qui sollicite l’intelligence collective des défenseurs et leurs capacités à communiquer rapidement pour piéger les attaquants adverses.
• La primauté des qualités techniques des joueurs, souvent déterminantes, au détriment de leurs forces et capacités athlétiques, importantes mais non décisives. La plupart des grands joueurs de l’histoire sont d’ailleurs petits de taille.
Cette caractéristique a permis le développement de paris sportifs liés au football. Une activité qui ne s’est pas vraiment développée dans les autres sports. Les meilleurs ont souvent battu les plus forts, c’est quasi inimaginable en Rugby, en Basket ou autres.
Cela n’empêche pas le commun des mortels de désigner un favori de compétition selon des critères objectifs. Ces critères, sportifs d’abord, sont à puiser dans le contexte des compétitions.
Une équipe qui joue à domicile est naturellement favorite, surtout lorsqu’elle dispose d’un effectif de qualité et de joueurs performants.
C’est le cas de l’équipe nationale marocaine aujourd’hui en lice pour un deuxième titre continental africain. Tous les organes de presse, et même certains spécialistes du football africain, en font le favori numéro un pour la victoire finale. Paradoxalement ce n’est pas le cas du public marocain.
Il doute, d’abord par respect aux autres favoris et ils sont nombreux, ensuite en raison des choix tactiques et stratégiques de l’un des meilleurs coachs nationaux de l’histoire du Maroc, Monsieur Oualid Regragui.
Cela n’empêche pas le commun des mortels de désigner un favori de compétition selon des critères objectifs. Ces critères, sportifs d’abord, sont à puiser dans le contexte des compétitions.
Une équipe qui joue à domicile est naturellement favorite, surtout lorsqu’elle dispose d’un effectif de qualité et de joueurs performants.
C’est le cas de l’équipe nationale marocaine aujourd’hui en lice pour un deuxième titre continental africain. Tous les organes de presse, et même certains spécialistes du football africain, en font le favori numéro un pour la victoire finale. Paradoxalement ce n’est pas le cas du public marocain.
Il doute, d’abord par respect aux autres favoris et ils sont nombreux, ensuite en raison des choix tactiques et stratégiques de l’un des meilleurs coachs nationaux de l’histoire du Maroc, Monsieur Oualid Regragui.
Personne n’a compris la sélection de Romain Saiss au détriment de certains jeunes champions du Monde U20.
Il revenait de blessure et sa chute quelques minutes après le début de la compétition n’a fait qu’augmenter les appréhensions des autres 40 millions de sélectionneurs, non officiels, des Lions de l’Atlas.
On ne comprend pas non plus la non-sélection de Hrimat, le Ballon d’Or de la Coupe Arabe Fifa et de la CHAN.
Enfin, et on se limite à ça, le public n’a pas compris la titularisation de Rahimi au détriment de Kaabi ou En-Nsyri, d’autant que Rahimi, en manque de confiance, a privé le meilleur buteur de l’équipe nationale depuis la dernière CAN, Brahim Diaz, du pénalty qu’il venait d’obtenir.
Un penalty qu’il a d’ailleurs raté permettant à l’équipe nationale des Comores de bien rentrer dans le match et poser des difficultés aux marocains.
Cette entrée en matière face aux Comores, timide mais pas catastrophique, est porteuse d’enseignements sérieux. Regragui, que l’on dit têtu mais intelligent, saura certainement en tirer les conséquences.
Il est attendu lors du prochain match face au Mali, une des belles équipes de ce tournoi, qui a concédé le nul en fin de match face à une équipe zambienne accrocheuse. Un match qu’il faudra réussir pour éviter que le doute, perceptible chez le public, ne touche les joueurs.
La confiance fait partie des ingrédients principaux de la victoire finale.
C’est ce qui a permis à Oualid de faire briller le drapeau marocain en Coupe du Monde, à Kaabi de tenter le coup de ciseaux face aux Comores et à Tannane de marquer un but d’anthologie lors de la finale de la Coupe Arabe Fifa, remportée par le Maroc à Doha.
Une victoire qui facilite la transition vers les équipes marocaines des autres catégories. Celles de la CHAN, de la Coupe Arabe et des U20, toutes consacrées championnes et que personne, parmi les spécialistes, ne voyait favorites sauf le public qui n’en a jamais douté, autre paradoxe.
Champion d’Afrique est le rêve de tous les Africains. Cette édition, suivie par un nombre record de médias, offre une visibilité inédite à la compétition.
Les infrastructures, qui ont résisté aux intempéries bienfaitrices, sont d’un tel niveau que même les détracteurs en interne s’obligent au silence pour éviter le ridicule.
Faudra pourtant prendre en compte leurs revendications légitimes sur les problèmes de santé, d’éducation et de civisme. Il se dit partout que le Maroc sera à nouveau en chantier dès le 19 janvier 2026, au lendemain de la finale de la Coupe d’Afrique.
C’est une bonne nouvelle et c’est peut-être ça la plus belle victoire des marocains.
Dima Maghrib.
Par Bargach Larbi
On ne comprend pas non plus la non-sélection de Hrimat, le Ballon d’Or de la Coupe Arabe Fifa et de la CHAN.
Enfin, et on se limite à ça, le public n’a pas compris la titularisation de Rahimi au détriment de Kaabi ou En-Nsyri, d’autant que Rahimi, en manque de confiance, a privé le meilleur buteur de l’équipe nationale depuis la dernière CAN, Brahim Diaz, du pénalty qu’il venait d’obtenir.
Un penalty qu’il a d’ailleurs raté permettant à l’équipe nationale des Comores de bien rentrer dans le match et poser des difficultés aux marocains.
Cette entrée en matière face aux Comores, timide mais pas catastrophique, est porteuse d’enseignements sérieux. Regragui, que l’on dit têtu mais intelligent, saura certainement en tirer les conséquences.
Il est attendu lors du prochain match face au Mali, une des belles équipes de ce tournoi, qui a concédé le nul en fin de match face à une équipe zambienne accrocheuse. Un match qu’il faudra réussir pour éviter que le doute, perceptible chez le public, ne touche les joueurs.
La confiance fait partie des ingrédients principaux de la victoire finale.
C’est ce qui a permis à Oualid de faire briller le drapeau marocain en Coupe du Monde, à Kaabi de tenter le coup de ciseaux face aux Comores et à Tannane de marquer un but d’anthologie lors de la finale de la Coupe Arabe Fifa, remportée par le Maroc à Doha.
Une victoire qui facilite la transition vers les équipes marocaines des autres catégories. Celles de la CHAN, de la Coupe Arabe et des U20, toutes consacrées championnes et que personne, parmi les spécialistes, ne voyait favorites sauf le public qui n’en a jamais douté, autre paradoxe.
Champion d’Afrique est le rêve de tous les Africains. Cette édition, suivie par un nombre record de médias, offre une visibilité inédite à la compétition.
Les infrastructures, qui ont résisté aux intempéries bienfaitrices, sont d’un tel niveau que même les détracteurs en interne s’obligent au silence pour éviter le ridicule.
Faudra pourtant prendre en compte leurs revendications légitimes sur les problèmes de santé, d’éducation et de civisme. Il se dit partout que le Maroc sera à nouveau en chantier dès le 19 janvier 2026, au lendemain de la finale de la Coupe d’Afrique.
C’est une bonne nouvelle et c’est peut-être ça la plus belle victoire des marocains.
Dima Maghrib.
Par Bargach Larbi












L'accueil

















