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Poème à écouter en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Le goût d’un fruit, le goût d’un mot,
Une caresse sur la peau.
Le monde parle à qui l’écoute,
Même le silence a une route.
Un plat partagé, des rires clairs,
Un vieux coussin, l’odeur de l’air.
Une musique, un feu de bois,
Et l’éveil danse entre les doigts.
Une idée vive dans un livre,
Un mot qui pense et qui délivre.
Quand l’intellect devient festin,
Le cœur se rassasie de sens divin.
L’étreinte chaude d’un être cher,
Un souffle court, un mot sincère.
Le goût du corps, le goût des liens,
Nous rend plus forts, nous rend plus humains.
Goûte la vie, goûte l’instant,
Chaque frisson est un présent.
Dans un regard, dans une main,
Le vrai bonheur ne tient à rien.
Un chant ancien dans un marché,
Un thé au jasmin partagé.
La poésie d’un geste simple,
C’est là que le bonheur s’implante.
Le goût du vent dans les palmiers,
Des pas sur terre bien alignés.
Quand le sacré touche nos heures,
Chaque moment devient saveur.
Un enfant rit, un chien s’endort,
Un vieux raconte, le temps s’accorde.
Ces choses simples, mais si profondes,
Sont les trésors qui nous inondent.
Le goût du manque, le goût de l’attente,
Fait vibrer l’âme quand elle chante.
Car même l’absence a ses parfums,
Qui nous rappellent d’où l’on vient.
Goûte la vie, goûte l’instant,
Chaque frisson est un présent.
Dans un regard, dans une main,
Le vrai bonheur ne tient à rien.
Alors prends goût à l’imparfait,
À l’éphémère, au vrai secret…
Ce goût-là, quand il se déploie,
Fait de la vie… un chant de joie.
Une caresse sur la peau.
Le monde parle à qui l’écoute,
Même le silence a une route.
Un plat partagé, des rires clairs,
Un vieux coussin, l’odeur de l’air.
Une musique, un feu de bois,
Et l’éveil danse entre les doigts.
Une idée vive dans un livre,
Un mot qui pense et qui délivre.
Quand l’intellect devient festin,
Le cœur se rassasie de sens divin.
L’étreinte chaude d’un être cher,
Un souffle court, un mot sincère.
Le goût du corps, le goût des liens,
Nous rend plus forts, nous rend plus humains.
Goûte la vie, goûte l’instant,
Chaque frisson est un présent.
Dans un regard, dans une main,
Le vrai bonheur ne tient à rien.
Un chant ancien dans un marché,
Un thé au jasmin partagé.
La poésie d’un geste simple,
C’est là que le bonheur s’implante.
Le goût du vent dans les palmiers,
Des pas sur terre bien alignés.
Quand le sacré touche nos heures,
Chaque moment devient saveur.
Un enfant rit, un chien s’endort,
Un vieux raconte, le temps s’accorde.
Ces choses simples, mais si profondes,
Sont les trésors qui nous inondent.
Le goût du manque, le goût de l’attente,
Fait vibrer l’âme quand elle chante.
Car même l’absence a ses parfums,
Qui nous rappellent d’où l’on vient.
Goûte la vie, goûte l’instant,
Chaque frisson est un présent.
Dans un regard, dans une main,
Le vrai bonheur ne tient à rien.
Alors prends goût à l’imparfait,
À l’éphémère, au vrai secret…
Ce goût-là, quand il se déploie,
Fait de la vie… un chant de joie.
Ce poème explore le goût comme une passerelle sensorielle, émotionnelle et spirituelle vers le bonheur.
Chaque couplet évoque une forme de plaisir : saveurs partagées, musiques subtiles, idées stimulantes, gestes tendres ou beautés du quotidien. Le refrain rappelle que le bonheur réside dans l’instant présent et les choses simples. À travers des images douces – un repas convivial, un livre éclairant, un sourire, une étreinte, un souffle sacré – le texte célèbre l'art de ressentir profondément le monde. Il invite à cultiver une pleine présence à soi et aux autres, à savourer ce que la vie offre, même dans ses silences ou ses manques. Loin d’un luxe inaccessible, le bonheur devient ici une pratique quotidienne, enracinée dans le goût des choses vraies et la gratitude. Le poème élève ainsi le goût au rang de boussole intérieure, guidant vers une joie profonde, durable et authentique.
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Scènes non ordinaires d’un quotidien d’agents de police marocains
