En effet, sur internet, beaucoup accusent les « samsara » (courtiers de visa) de monopoliser les rendez-vous de visas via des programmes automatisés. Ces courtiers revendraient ensuite ces créneaux à des prix exorbitants, dépassant parfois les trois mille dirhams. Cette situation a été dénoncée par Abdelkrim Chafii, vice-président de la Fédération Marocaine des Droits du Consommateur (FMDC), qui redoute la possible complicité des entreprises intermédiaires comme TLScontact. Il a souligné la persistance du problème malgré les alertes, suggérant une enquête urgente des autorités marocaines.
Bouazza Kherrati, président de la Fédération Marocaine des Droits du Consommateur, a également critiqué l’utilisation des « bots » et a appelé les consulats européens à réformer le processus de demande de visa. Il a également plaidé pour l’introduction du visa numérique et l’abolition du non-remboursement des frais en cas de refus.
Les demandes de visas génèrent des profits importants pour des réseaux organisés, ce qui empêche très souvent les citoyens marocains de voyager pour des raisons d’études, de soins médicaux ou encore de tourisme.
Bouazza Kherrati, président de la Fédération Marocaine des Droits du Consommateur, a également critiqué l’utilisation des « bots » et a appelé les consulats européens à réformer le processus de demande de visa. Il a également plaidé pour l’introduction du visa numérique et l’abolition du non-remboursement des frais en cas de refus.
Les demandes de visas génèrent des profits importants pour des réseaux organisés, ce qui empêche très souvent les citoyens marocains de voyager pour des raisons d’études, de soins médicaux ou encore de tourisme.