Le cinéma d’animation africain entre rêves créatifs, manque de financements et combat pour la transmission culturelle
Au FICAM 2025 de Meknès, les pionniers Jean-Michel Kibushi et Zouhaier Mahjoub ont tiré la sonnette d’alarme sur les défis que traverse le cinéma d’animation africain.
Entre manque de moyens, pression des financements internationaux et rareté des écoles, l’animation peine à faire entendre ses récits enracinés dans les réalités du continent.
Les technologies comme l’intelligence artificielle posent de nouvelles questions, entre potentiel créatif et dérive dématérialisée. Malgré tout, ces figures majeures défendent une animation artisanale, porteuse de mémoire et d’identité.
Entre manque de moyens, pression des financements internationaux et rareté des écoles, l’animation peine à faire entendre ses récits enracinés dans les réalités du continent.
Les technologies comme l’intelligence artificielle posent de nouvelles questions, entre potentiel créatif et dérive dématérialisée. Malgré tout, ces figures majeures défendent une animation artisanale, porteuse de mémoire et d’identité.












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