A lire ou à écouter en podcast :
Par Mohammed Yassir Mouline
Ah, la politique marocaine ! Ce musée à ciel ouvert où les vitrines s’appellent “partis”, les mannequins “leaders”, et où chaque congrès ressemble à un inventaire du patrimoine fossilisé... On croyait que le dinosaure avait disparu depuis le Crétacé ? Que nenni, il s’est recyclé en secrétaire général à vie, espèce protégée par les statuts internes et la complaisance de ses militants…
Depuis des décennies, ces patriarches tiennent leurs partis comme on tient un héritage… ni à vendre, ni à partager, encore moins à léguer... Ils s’accrochent à leur fauteuil comme à une relique, persuadés que sans eux, le parti et peut-être le pays s’effondrerait… ils ont créé un champ politique où la jeunesse regarde le spectacle en streaming… sans jamais être invitée à monter sur scène… se sont des fossiles du suffrage ou comment momifier la démocratie ?!!
Quand un parti s’effondre, on blâme “la conjoncture”, “les médias”, ou “le voisin jaloux”, mais surtout pas le capitaine du Titanic partisan. Ainsi, des “leaders” s’incrustent à demeure, momifiés dans leur propre gloire, tandis que leurs militants deviennent des porteurs de cercueils électoraux… La démocratie interne est devenu une farce bien rodée… les statuts changent, mais pas les têtes... Les mandats se renouvellent comme des abonnements à vie, jusqu’à décès ou dissolution… Et pour entretenir le culte du chef, on distribue les postes comme des hosties, on pense peu, on prie beaucoup… se sont les “leaders éternels” et leurs zombies militants !!
Cette momification ne tue pas seulement les partis, elle stérilise tout le champ politique… Plus d’idées, plus de débats, juste des slogans jaillis de la naphtaline… Les jeunes, eux, regardent ce théâtre avec le même enthousiasme qu’un vieux feuilleton en noir et blanc, ils connaissent déjà la fin… Pendant que les universités produisent des cerveaux, des partis produisent des commissions… Pendant que le monde parle d’intelligence artificielle, nos formations pratiquent la bêtise institutionnalisée… Le cerveau politique est en coma prolongé !!!
Et puis, soudain, un coup de balai Royal… Lors du Conseil des ministres consacré au projet de Loi de Finances 2026 et aux nouvelles lois organiques sur les partis politiques et la Chambre des Représentants, SM le Roi Mohammed VI a tracé une nouvelle ligne de crête… Moraliser, rajeunir et redonner du sens à la politique… Derrière la technicité des textes, une philosophie limpide… Le renouveau démocratique passera par la jeunesse, la probité et la compétence… Fini le recyclage des visages défraîchis… place à la génération qui code, qui vote et qui ose…
Une refondation silencieuse, mais révolutionnaire… SM Le Roi veut redonner la politique aux jeunes, pas en discours, mais en actes… 75 % de financement public pour les candidats de moins de 35 ans… Des circonscriptions régionales réservées aux femmes… et une mise à jour des règles internes des partis pour favoriser la rotation des élites et la transparence… Alors que les “anciens” continuent d’ajuster leur dentier électoral, le Maroc prépare sa greffe générationnelle… Les jeunes auront 75 % de financement… les anciens, 100 % de nostalgie !!
Ces réformes tracent les contours d’un nouveau pacte moral entre le pouvoir et la société… SM le Roi ne promet pas une démocratie parfaite, mais une démocratie vivante, débarrassée des parasites chroniques… Il ne parle pas de “rêves”, mais d’“éthique” et de “mérite”, des mots presque subversifs dans le lexique politique actuel… Car au fond, le message Royal est clair, on ne peut pas construire l’avenir avec des hommes du passé… Et tant que les fossiles siègent, la jeunesse s’exile dans le silence, l’humour noir ou les hashtags…
La réussite de cette réforme dépendra évidemment de sa traduction concrète… Le texte est une promesse, la pratique sera la preuve… Mais pour la première fois depuis longtemps, le Maroc semble vouloir s’attaquer non pas aux symptômes « abstention, désaffection, méfiance »… mais aux causes structurelles de la fatigue démocratique…
Dans un monde où les démocraties s’épuisent à force de promesses non tenues, Le Maroc bouge et tente un pari rare… Celui du rajeunissement par la loi et de la morale par le courage politique… Un pari qui, s’il réussit, pourrait bien transformer une génération spectatrice en génération fondatrice… SM le Roi trace la voie d’une relève propre, ambitieuse et lucide… Pendant ce temps, certains partis se disputent encore le contrôle de la clim du mausolée…
Les chefs à vie, eux, font grise mine… Eux qui s’étaient faits momifier au nom de “l’unité du parti” voient arriver le scalpel de la réforme… Car, disons-le franchement, certaines formations politiques ressemblaient plus à des Zaouïas électorales qu’à des laboratoires d’idées… Le guide parle, les disciples écoutent, et tout le monde sort convaincu que le Maroc changera… sans jamais changer de chef…
Sa Majesté le Roi, lui, a bien compris ce que les militants savent depuis longtemps… Le problème n’est pas la jeunesse apathique, mais les appareils séniles… Le Maroc aspire à la liberté, mais certains choisissent de demeurer dans l'oubli… Et au rythme des chants révolutionnaires de l'ancienne gauche, j'adresse un salut particulier au camarade opprimé… !!
Depuis des décennies, ces patriarches tiennent leurs partis comme on tient un héritage… ni à vendre, ni à partager, encore moins à léguer... Ils s’accrochent à leur fauteuil comme à une relique, persuadés que sans eux, le parti et peut-être le pays s’effondrerait… ils ont créé un champ politique où la jeunesse regarde le spectacle en streaming… sans jamais être invitée à monter sur scène… se sont des fossiles du suffrage ou comment momifier la démocratie ?!!
Quand un parti s’effondre, on blâme “la conjoncture”, “les médias”, ou “le voisin jaloux”, mais surtout pas le capitaine du Titanic partisan. Ainsi, des “leaders” s’incrustent à demeure, momifiés dans leur propre gloire, tandis que leurs militants deviennent des porteurs de cercueils électoraux… La démocratie interne est devenu une farce bien rodée… les statuts changent, mais pas les têtes... Les mandats se renouvellent comme des abonnements à vie, jusqu’à décès ou dissolution… Et pour entretenir le culte du chef, on distribue les postes comme des hosties, on pense peu, on prie beaucoup… se sont les “leaders éternels” et leurs zombies militants !!
Cette momification ne tue pas seulement les partis, elle stérilise tout le champ politique… Plus d’idées, plus de débats, juste des slogans jaillis de la naphtaline… Les jeunes, eux, regardent ce théâtre avec le même enthousiasme qu’un vieux feuilleton en noir et blanc, ils connaissent déjà la fin… Pendant que les universités produisent des cerveaux, des partis produisent des commissions… Pendant que le monde parle d’intelligence artificielle, nos formations pratiquent la bêtise institutionnalisée… Le cerveau politique est en coma prolongé !!!
Et puis, soudain, un coup de balai Royal… Lors du Conseil des ministres consacré au projet de Loi de Finances 2026 et aux nouvelles lois organiques sur les partis politiques et la Chambre des Représentants, SM le Roi Mohammed VI a tracé une nouvelle ligne de crête… Moraliser, rajeunir et redonner du sens à la politique… Derrière la technicité des textes, une philosophie limpide… Le renouveau démocratique passera par la jeunesse, la probité et la compétence… Fini le recyclage des visages défraîchis… place à la génération qui code, qui vote et qui ose…
Une refondation silencieuse, mais révolutionnaire… SM Le Roi veut redonner la politique aux jeunes, pas en discours, mais en actes… 75 % de financement public pour les candidats de moins de 35 ans… Des circonscriptions régionales réservées aux femmes… et une mise à jour des règles internes des partis pour favoriser la rotation des élites et la transparence… Alors que les “anciens” continuent d’ajuster leur dentier électoral, le Maroc prépare sa greffe générationnelle… Les jeunes auront 75 % de financement… les anciens, 100 % de nostalgie !!
Ces réformes tracent les contours d’un nouveau pacte moral entre le pouvoir et la société… SM le Roi ne promet pas une démocratie parfaite, mais une démocratie vivante, débarrassée des parasites chroniques… Il ne parle pas de “rêves”, mais d’“éthique” et de “mérite”, des mots presque subversifs dans le lexique politique actuel… Car au fond, le message Royal est clair, on ne peut pas construire l’avenir avec des hommes du passé… Et tant que les fossiles siègent, la jeunesse s’exile dans le silence, l’humour noir ou les hashtags…
La réussite de cette réforme dépendra évidemment de sa traduction concrète… Le texte est une promesse, la pratique sera la preuve… Mais pour la première fois depuis longtemps, le Maroc semble vouloir s’attaquer non pas aux symptômes « abstention, désaffection, méfiance »… mais aux causes structurelles de la fatigue démocratique…
Dans un monde où les démocraties s’épuisent à force de promesses non tenues, Le Maroc bouge et tente un pari rare… Celui du rajeunissement par la loi et de la morale par le courage politique… Un pari qui, s’il réussit, pourrait bien transformer une génération spectatrice en génération fondatrice… SM le Roi trace la voie d’une relève propre, ambitieuse et lucide… Pendant ce temps, certains partis se disputent encore le contrôle de la clim du mausolée…
Les chefs à vie, eux, font grise mine… Eux qui s’étaient faits momifier au nom de “l’unité du parti” voient arriver le scalpel de la réforme… Car, disons-le franchement, certaines formations politiques ressemblaient plus à des Zaouïas électorales qu’à des laboratoires d’idées… Le guide parle, les disciples écoutent, et tout le monde sort convaincu que le Maroc changera… sans jamais changer de chef…
Sa Majesté le Roi, lui, a bien compris ce que les militants savent depuis longtemps… Le problème n’est pas la jeunesse apathique, mais les appareils séniles… Le Maroc aspire à la liberté, mais certains choisissent de demeurer dans l'oubli… Et au rythme des chants révolutionnaires de l'ancienne gauche, j'adresse un salut particulier au camarade opprimé… !!












L'accueil





















