Par L’ODJ Média
Quand on parle de montres de luxe, on pense souvent à des objets inaccessibles, vitrines étincelantes, marques suisses, et savoir-faire mécanique. Mais ce serait une erreur de réduire l’horlogerie haut de gamme à une simple démonstration de richesse ou de technique. Car derrière chaque cadran, chaque mécanisme, chaque mouvement, il y a aussi une histoire. Une histoire d’art, de culture, de traditions. Et aujourd’hui, cette histoire s’écrit aussi avec une voix africaine.
C’est précisément ce que défend Walid Benla, fondateur de Time-Telling Magazine, le tout premier média horloger indépendant du continent africain. Un magazine né d’une passion sincère pour les montres, mais surtout d’un besoin vital : représenter ceux qu’on n’entend jamais dans le monde du luxe. « Enfin, on nous représente », écrivent ses lecteurs répartis dans plus de 50 pays. Un cri du cœur de tous ceux pour qui le luxe mérite d’être raconté autrement.
Le luxe comme tradition réinventée
Souvent perçu comme un monde fermé, figé dans ses traditions européennes, le luxe peut pourtant être un formidable laboratoire de réinvention culturelle. De plus en plus de créateurs s’inspirent de motifs africains, de calendriers lunaires berbères, ou encore de récits amazighs pour repenser les codes de l’horlogerie.
Et si, demain, une montre de luxe arborait fièrement un zellige marocain en guise de cadran ? Et si les grandes maisons s’ouvraient aux jeunes artisans africains pour co-créer des éditions limitées célébrant nos fêtes, nos symboles, nos rythmes ? L’horlogerie de demain pourrait être un art du métissage, et non de l’imitation.
Et si, demain, une montre de luxe arborait fièrement un zellige marocain en guise de cadran ? Et si les grandes maisons s’ouvraient aux jeunes artisans africains pour co-créer des éditions limitées célébrant nos fêtes, nos symboles, nos rythmes ? L’horlogerie de demain pourrait être un art du métissage, et non de l’imitation.
Prendre le temps de se réapproprier le temps
À l’heure où tout s’accélère, où l’instantané règne en maître sur nos vies connectées, porter une montre mécanique est un acte presque politique. C’est affirmer qu’on choisit de prendre son temps. Qu’on valorise le savoir-faire, la patience, la mémoire. Et ce choix est profondément culturel. Il dit quelque chose de notre rapport au monde, à la beauté, à l’héritage.
À travers les pages de Time-Telling et de L’ODJ, une nouvelle génération s’invite donc dans la conversation mondiale sur le luxe. Une génération qui n’a plus peur d’aimer les belles choses, de revendiquer un regard africain, marocain, mais aussi universel sur les objets du désir.
À travers les pages de Time-Telling et de L’ODJ, une nouvelle génération s’invite donc dans la conversation mondiale sur le luxe. Une génération qui n’a plus peur d’aimer les belles choses, de revendiquer un regard africain, marocain, mais aussi universel sur les objets du désir.
L’heure est venue
Ce partenariat entre un média horloger pionnier et une plateforme jeune et engagée comme L’ODJ est bien plus qu’un accord éditorial. C’est une déclaration. Une invitation à découvrir que le luxe, quand il est vécu avec sincérité et curiosité, peut devenir un vecteur d’émancipation culturelle. Une montre, ce n’est pas qu’un objet de prestige. C’est un morceau d’art, un fragment de culture, une pulsation de tradition.
Et surtout, c’est une manière de se rappeler que le vrai luxe, peut-être, c’est d’avoir le temps. Le temps de comprendre, de contempler, de transmettre.
Et surtout, c’est une manière de se rappeler que le vrai luxe, peut-être, c’est d’avoir le temps. Le temps de comprendre, de contempler, de transmettre.












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