On est atteint de la maladie des cauchemars quand ces derniers perturbent notre vie quotidienne, ce ne sont donc pas de simples mauvais rêves, mais il reste tout de même espoir d'en guérir.

L'un des effets secondaires de ce phénomène touche la qualité du sommeil provoquant des insomnies, répercutant à leurs tours la qualité de vie. 

Manquant de repos suite à la qualité de sommeil détériorée, l'individu essaie de trouver moyen de dormir sans faire de cauchemars, et ceci en consommant des stupéfiants ou dans d'autres cas en buvant de l'alcool.

Les thérapies cognitives et comportementales, d'après une étude menée par des chercheurs, sont efficaces. Il consiste en la modification de la charge émotionnelle du récit du cauchemar. "L'imagerie mentale consiste à modifier un cauchemar préexistant pour créer le scénario d'un nouveau rêve qui sera répété quotidiennement durant l'éveil" expliquent les chercheurs.

Ainsi cette façon d'aborder le cauchemar, permettrait de réduite de 70% la détresse associée au récit cauchemardesque. Il a été administré à une patiente atteinte de stress-post-traumatique consommant une grande quantité d'alcool pour dormir, à chaque réveil de cauchemar de réécrire le scénario de son rêve en transformant tous les éléments négatifs en quelque chose de festif. 

En quelques nuits seulement, la patiente a commencé à aller mieux, à voir les effets secondaires de ses cauchemars s'estomper. 

 

Dans certains cas de cas de stress-post-traumatique, une autre méthode pharmacologique peut être envisagée, ou encore des techniques psychothérapeutiques comme les thérapies d'exposition et de désensibilisation, les thérapies centrées sur les rêves lucides et dans une moindre mesure les thérapies cognitivo-comportementales classiques ou spécifiques de l'insomnie.






ZOUGAGH Malak (journaliste junior) 
L'odj avec top santé