Les recherches se poursuivent au Nigeria après l’enlèvement de 25 lycéennes dans l’État de Kebbi, où des hommes armés ont attaqué un internat et tué le directeur adjoint. Une élève a pu s’échapper, laissant 24 jeunes filles toujours portées disparues dans une région régulièrement frappée par les enlèvements de masse.
L’attaque a suscité des réactions jusqu’aux États-Unis, où certains responsables conservateurs parlent de persécution chrétienne, alors que les autorités nigérianes rappellent que les victimes sont toutes musulmanes. Le président Bola Tinubu a condamné le rapt et appelé la population à coopérer avec les forces de sécurité.
Cet enlèvement survient dans un climat de tensions entre Washington et Abuja, alimenté par les déclarations de Donald Trump sur la situation religieuse au Nigeria. Les États-Unis doivent décider cette semaine s’ils placent le pays sur leur liste des États “particulièrement préoccupants”.












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