La démocratie n’a pas besoin d’un “RESET”
Dans un contexte où certaines voix appellent à « effacer tout et recommencer à zéro », Nizar Baraka a mis en garde contre les dérives d’un tel discours.
Revenir en arrière, dit-il, c’est renier des décennies d’efforts démocratiques et fragiliser les institutions que le pays a construites avec patience et courage.
« Notre démocratie ne se reconstruit pas en appuyant sur un bouton RESET, mais en réparant, en améliorant et en participant. »
L’enjeu, selon lui, n’est pas d’abolir les institutions, mais de les rendre plus transparentes, plus responsables et plus proches du citoyen.
Revenir en arrière, dit-il, c’est renier des décennies d’efforts démocratiques et fragiliser les institutions que le pays a construites avec patience et courage.
« Notre démocratie ne se reconstruit pas en appuyant sur un bouton RESET, mais en réparant, en améliorant et en participant. »
L’enjeu, selon lui, n’est pas d’abolir les institutions, mais de les rendre plus transparentes, plus responsables et plus proches du citoyen.
Pas de technocratie sans démocratie
Face aux appels en faveur d’un gouvernement “technocratique”, Baraka a été catégorique : la compétence, aussi précieuse soit-elle, ne remplace pas la légitimité démocratique.
Les technocrates peuvent administrer, mais seuls les élus rendent des comptes au peuple.
Et sans cette boucle de responsabilité, c’est tout le sens de la démocratie qui s’effondre.
« Lier la responsabilité à la reddition des comptes n’est pas un slogan, c’est le cœur même de notre système démocratique. »
Les technocrates peuvent administrer, mais seuls les élus rendent des comptes au peuple.
Et sans cette boucle de responsabilité, c’est tout le sens de la démocratie qui s’effondre.
« Lier la responsabilité à la reddition des comptes n’est pas un slogan, c’est le cœur même de notre système démocratique. »
Le véritable défi : une crise de valeurs
Au-delà de l’économie, le chef de l’Istiqlal a pointé une crise de valeurs qui traverse la société : manque de rigueur, d’engagement, et parfois de méritocratie.
Pour lui, il ne peut y avoir de développement durable sans un sursaut moral fondé sur la justice, la responsabilité et la transparence.
Et il ne s’est pas contenté de le dire : Baraka s’est déclaré prêt à rendre compte de son propre bilan en tant que ministre de l’Équipement et de l’Eau.
Un geste fort qui traduit une conviction simple : celui qui demande la confiance du peuple doit être le premier à ouvrir ses comptes devant lui.
Pour lui, il ne peut y avoir de développement durable sans un sursaut moral fondé sur la justice, la responsabilité et la transparence.
Et il ne s’est pas contenté de le dire : Baraka s’est déclaré prêt à rendre compte de son propre bilan en tant que ministre de l’Équipement et de l’Eau.
Un geste fort qui traduit une conviction simple : celui qui demande la confiance du peuple doit être le premier à ouvrir ses comptes devant lui.
Message à la jeunesse : engagez-vous, ne laissez pas le vide gagner
Dans un ton à la fois ferme et fraternel, Nizar Baraka a conclu son intervention par un appel vibrant :
« Ne restez pas en marge. La politique n’est pas réservée à quelques-uns. Si vous voulez changer les choses, entrez dans le jeu, soyez acteurs, pas spectateurs. »
Car, ajoute-t-il, le danger n’est pas dans l’échec de la politique, mais dans le vide qu’elle laisse quand plus personne ne veut s’y investir.
« Ne restez pas en marge. La politique n’est pas réservée à quelques-uns. Si vous voulez changer les choses, entrez dans le jeu, soyez acteurs, pas spectateurs. »
Car, ajoute-t-il, le danger n’est pas dans l’échec de la politique, mais dans le vide qu’elle laisse quand plus personne ne veut s’y investir.
L’appel de Nizar Baraka est bien plus qu’un message partisan.
C’est une invitation à la réconciliation entre la jeunesse et la politique, entre l’indignation et l’action.
Il rappelle à toute une génération que le Maroc a besoin de leur voix, de leur force et de leur confiance.
« Changer le pays ne se fait pas en le commentant de loin, mais en le construisant de près. »
Il rappelle à toute une génération que le Maroc a besoin de leur voix, de leur force et de leur confiance.
« Changer le pays ne se fait pas en le commentant de loin, mais en le construisant de près. »












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