Aziz Akhannouch a affirmé que le plan d’autonomie sous souveraineté marocaine demeure la seule solution « réaliste et durable » au différend du Sahara. Il a rappelé qu’une large majorité de la communauté internationale considère cette proposition comme la base pragmatique et crédible pour clore définitivement ce dossier.
Il a mis en avant la dynamique créée par les initiatives royales et souligné la transformation socio-économique des provinces du Sud, devenues une plateforme stratégique pour la paix, la sécurité et le co-développement dans la région.
Akhannouch a réitéré l’engagement du Maroc, sous la conduite du Roi Mohammed VI, en faveur de la solution à deux États, avec un État palestinien indépendant sur les frontières de 1967, ayant Al-Qods-Est pour capitale et Gaza comme partie intégrante. Il a insisté sur la nécessité d’un cessez-le-feu immédiat à Gaza, de l’entrée sans entraves de l’aide humanitaire et du renforcement du rôle vital de l’UNRWA. Le Maroc appelle aussi à une feuille de route claire pour la reconstruction, supervisée conjointement par l’Autorité palestinienne, les pays arabes et la communauté internationale.
Le Chef du gouvernement a rappelé l’attachement constant du Royaume à la défense des lieux saints d’Al-Qods, via le travail de l’Agence Bayt Mal Al-Qods. Il a également exprimé la solidarité du Maroc avec le Qatar, la Syrie et le Liban face aux attaques israéliennes.
Au-delà du Sahara et de la Palestine, Akhannouch a souligné la nécessité de solutions politiques respectueuses de la souveraineté nationale en Libye, au Yémen, au Soudan et en Somalie, appelant à écarter les ingérences étrangères et à privilégier les voies pacifiques.
Avec ce discours, le Maroc confirme son double cap diplomatique : défendre avec constance son intégrité territoriale et porter la voix de la paix au Moyen-Orient et en Afrique.












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