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Il s’agit du jugement de divorce le plus onéreux jamais prononcé par la justice anglaise. Le souverain de Dubaï, Mohammed ben Rached al-Maktoum, a été condamné, mardi 21 décembre, à Londres, à payer plus de 640 millions d'euros à son ex-épouse et à leurs enfants.
Ce jugement constitue le dernier épisode d'une série de batailles juridiques révélant enlèvements, fuite en bateau et piratages informatiques au sein de la famille de l'émir de la cité-État stratégique du Golfe.
Le dirigeant de 72 ans, chef du gouvernement des Émirats arabes unis, devra payer 251,5 millions de livres (environ 300 millions d'euros) à sa sixième épouse, la princesse Haya de Jordanie, 47 ans, qui s'était enfuie à Londres en 2019, emmenant leurs deux enfants.
Il devra aussi effectuer des paiements pour leurs enfants Al Jalila, 14 ans, et Zayed, neuf ans, qui pourraient atteindre au total 290 millions de livres (plus de 340 millions d'euros) pour couvrir la pension alimentaire et les frais liés à leur sécurité, selon un jugement du tribunal des affaires familiales.
Sécurité renforcée :
Le montant total, qui comprend des dizaines de milliers de livres pour les vacances ou les frais liés à leurs animaux, pourrait varier en fonction de plusieurs facteurs, notamment si les enfants se réconcilient avec leur père.
Ces compensations financières record dépassent celles accordées en 2016 par un tribunal anglais à l'ex-épouse du milliardaire russe Farkhad Akhmedov, Tatiana Akhmedova (453 millions de livres, soit 531 millions d'euros, en 2016).
Rendant sa décision, le juge Moor a estimé, que "compte tenu de leur statut et des menaces générales de terrorisme et d'enlèvement auxquelles ils sont confrontés dans de telles circonstances, (les enfants du souverain) sont particulièrement vulnérables et ont besoin d'une sécurité renforcée pour assurer leur sûreté dans ce pays".
Il a ajouté que "la principale menace à laquelle ils sont confrontés vient du (souverain) lui-même, et non de sources extérieures."
Le divorce le plus onéreux :
Ce jugement constitue le dernier épisode d'une série de batailles juridiques révélant enlèvements, fuite en bateau et piratages informatiques au sein de la famille de l'émir de la cité-État stratégique du Golfe.
Le dirigeant de 72 ans, chef du gouvernement des Émirats arabes unis, devra payer 251,5 millions de livres (environ 300 millions d'euros) à sa sixième épouse, la princesse Haya de Jordanie, 47 ans, qui s'était enfuie à Londres en 2019, emmenant leurs deux enfants.
Il devra aussi effectuer des paiements pour leurs enfants Al Jalila, 14 ans, et Zayed, neuf ans, qui pourraient atteindre au total 290 millions de livres (plus de 340 millions d'euros) pour couvrir la pension alimentaire et les frais liés à leur sécurité, selon un jugement du tribunal des affaires familiales.
Sécurité renforcée :
Le montant total, qui comprend des dizaines de milliers de livres pour les vacances ou les frais liés à leurs animaux, pourrait varier en fonction de plusieurs facteurs, notamment si les enfants se réconcilient avec leur père.
Ces compensations financières record dépassent celles accordées en 2016 par un tribunal anglais à l'ex-épouse du milliardaire russe Farkhad Akhmedov, Tatiana Akhmedova (453 millions de livres, soit 531 millions d'euros, en 2016).
Un porte-parole de Mohammed ben Rached al-Maktoum a déclaré que ce dernier "a toujours veillé à ce que ses enfants soient à l'abri du besoin". "Le tribunal a maintenant rendu sa décision sur l'aspect financier et il n'a pas l'intention de commenter davantage".
Rendant sa décision, le juge Moor a estimé, que "compte tenu de leur statut et des menaces générales de terrorisme et d'enlèvement auxquelles ils sont confrontés dans de telles circonstances, (les enfants du souverain) sont particulièrement vulnérables et ont besoin d'une sécurité renforcée pour assurer leur sûreté dans ce pays".
Il a ajouté que "la principale menace à laquelle ils sont confrontés vient du (souverain) lui-même, et non de sources extérieures."
Le divorce le plus onéreux :
Les mesures de compensation financière accordées mardi figurent parmi les plus importantes jamais accordées dans le cadre du règlement d’un divorce devant la justice anglaise depuis le cas de l’ex-épouse du milliardaire russe Farkhad Akhmedov, Tatiana Akhmedova.
Fin 2016, la justice avait accordé à Tatiana Akhmedova 41 % de la fortune de son ex-mari, Farkhad Akhmedov, représentant 453 millions de livres, soit 531 millions d’euros au cours actuel.
L'odj avec Le monde
Fin 2016, la justice avait accordé à Tatiana Akhmedova 41 % de la fortune de son ex-mari, Farkhad Akhmedov, représentant 453 millions de livres, soit 531 millions d’euros au cours actuel.
L'odj avec Le monde