Fumée sans feu : les 'puff' bientôt interdites au Maroc ?
Alors que la France et la Belgique ont récemment interdit la commercialisation des cigarettes électroniques jetables, appelées “puff”, la question se pose désormais pour le Maroc. Ces dispositifs, qui séduisent particulièrement les jeunes en raison de leurs arômes attractifs et de leur accessibilité, suscitent des inquiétudes croissantes chez les autorités sanitaires et les associations de lutte contre le tabagisme.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) met en garde contre ces produits, estimant qu’ils favorisent une dépendance précoce à la nicotine et constituent une passerelle vers la consommation de tabac classique. De plus, leur impact environnemental est préoccupant : ces cigarettes électroniques à usage unique génèrent des déchets plastiques et électroniques difficilement recyclables.
Le Maroc, engagé dans une politique de santé publique visant à réduire le tabagisme, pourrait être tenté d’adopter des mesures similaires à celles de ses voisins européens. D’ailleurs, certains professionnels du secteur estiment qu’une régulation plus stricte est inévitable. “Il est impératif d’encadrer ces produits pour protéger la jeunesse et limiter leurs effets néfastes”, explique un expert en santé publique.
L’interdiction de ces produits pourrait cependant avoir des conséquences économiques, notamment pour les importateurs et les vendeurs spécialisés qui ont vu leur chiffre d’affaires exploser ces dernières années. Un dilemme s’impose donc entre santé publique et enjeux économiques, poussant le gouvernement à réfléchir à des solutions intermédiaires, comme une taxation accrue ou une restriction de la vente aux mineurs.
Si la tendance mondiale semble aller vers un encadrement de plus en plus strict, la décision marocaine dépendra des pressions exercées par les lobbies industriels et des recommandations des instances sanitaires locales. Une interdiction totale serait un tournant majeur dans la lutte contre la consommation de nicotine chez les jeunes.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) met en garde contre ces produits, estimant qu’ils favorisent une dépendance précoce à la nicotine et constituent une passerelle vers la consommation de tabac classique. De plus, leur impact environnemental est préoccupant : ces cigarettes électroniques à usage unique génèrent des déchets plastiques et électroniques difficilement recyclables.
Le Maroc, engagé dans une politique de santé publique visant à réduire le tabagisme, pourrait être tenté d’adopter des mesures similaires à celles de ses voisins européens. D’ailleurs, certains professionnels du secteur estiment qu’une régulation plus stricte est inévitable. “Il est impératif d’encadrer ces produits pour protéger la jeunesse et limiter leurs effets néfastes”, explique un expert en santé publique.
L’interdiction de ces produits pourrait cependant avoir des conséquences économiques, notamment pour les importateurs et les vendeurs spécialisés qui ont vu leur chiffre d’affaires exploser ces dernières années. Un dilemme s’impose donc entre santé publique et enjeux économiques, poussant le gouvernement à réfléchir à des solutions intermédiaires, comme une taxation accrue ou une restriction de la vente aux mineurs.
Si la tendance mondiale semble aller vers un encadrement de plus en plus strict, la décision marocaine dépendra des pressions exercées par les lobbies industriels et des recommandations des instances sanitaires locales. Une interdiction totale serait un tournant majeur dans la lutte contre la consommation de nicotine chez les jeunes.












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