Dans un message publié sur sa page Facebook, Belkchour s’est dit profondément déçu par la situation actuelle du Raja, qu’il qualifie de bloquée et opaque. Il pointe du doigt l’attitude du président intérimaire Abdellah Birouaine, qu’il accuse de retarder volontairement la tenue de l’assemblée générale élective en refusant d’en fixer la date et d’ouvrir les adhésions, pourtant indispensables à un processus électoral transparent.
Belkchour critique également la gestion actuelle des affaires sportives, notamment le dossier des transferts, géré en l’absence d’un directeur sportif et de toute structure technique. Une centralisation du pouvoir qui, selon lui, nuit aux intérêts du club.
Il affirme pourtant avoir préparé un projet sportif structuré, mû par la volonté de redresser le club et de réunir la famille rajaouie, et non par des ambitions personnelles : « Mon objectif était de contribuer à l’avenir du Raja, peu importe mon rôle. Mais les conditions actuelles ne permettent pas de concrétiser cette vision. »
Pour rappel, le Raja traverse une période d’instabilité chronique depuis la démission de Mohamed Boudrika. Son successeur, Adil Hala, n’a pas fait long feu, cédant rapidement sa place à Abdellah Birouaine, aujourd’hui au cœur des critiques.
« J’ai toujours défendu la transparence et le dialogue, mais les derniers développements montrent clairement que le président intérimaire n’a aucune intention de passer le relais », écrit-il.
Belkchour critique également la gestion actuelle des affaires sportives, notamment le dossier des transferts, géré en l’absence d’un directeur sportif et de toute structure technique. Une centralisation du pouvoir qui, selon lui, nuit aux intérêts du club.
« Ce mode de gestion en marge des règles usuelles ne sert ni la stabilité ni la relance du Raja », déplore-t-il.
Il affirme pourtant avoir préparé un projet sportif structuré, mû par la volonté de redresser le club et de réunir la famille rajaouie, et non par des ambitions personnelles : « Mon objectif était de contribuer à l’avenir du Raja, peu importe mon rôle. Mais les conditions actuelles ne permettent pas de concrétiser cette vision. »
Pour rappel, le Raja traverse une période d’instabilité chronique depuis la démission de Mohamed Boudrika. Son successeur, Adil Hala, n’a pas fait long feu, cédant rapidement sa place à Abdellah Birouaine, aujourd’hui au cœur des critiques.












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