Un réseau bien organisé pour contourner les règles
L’affaire a éclaté lorsque des agents consulaires ont détecté plusieurs incohérences dans des dossiers de demande de visa Schengen.
Face à ces anomalies, une enquête a été ouverte, dévoilant une vaste opération de falsification impliquant des ressortissants marocains et portugais.
Au centre de ce réseau, un Marocain installé au Portugal jouait un rôle clé en orchestrant la création d’entreprises fictives servant à générer de faux contrats de travail.
Son complice, un avocat portugais, rédigeait ces documents frauduleux avant qu’ils ne soient transmis à des intermédiaires au Maroc.
Ces derniers proposaient ces dossiers à des demandeurs de visa en échange de sommes pouvant atteindre 170 000 dirhams, selon les avantages inclus dans le dossier.
Face à ces anomalies, une enquête a été ouverte, dévoilant une vaste opération de falsification impliquant des ressortissants marocains et portugais.
Au centre de ce réseau, un Marocain installé au Portugal jouait un rôle clé en orchestrant la création d’entreprises fictives servant à générer de faux contrats de travail.
Son complice, un avocat portugais, rédigeait ces documents frauduleux avant qu’ils ne soient transmis à des intermédiaires au Maroc.
Ces derniers proposaient ces dossiers à des demandeurs de visa en échange de sommes pouvant atteindre 170 000 dirhams, selon les avantages inclus dans le dossier.
Des sociétés fictives pour légitimer les dossiers
Ce réseau ne se limitait pas à la simple falsification de contrats. Pour donner plus de crédibilité aux demandes de visa, d’anciens comptables se sont impliqués dans la création d’entreprises écrans.
Ces sociétés étaient enregistrées légalement, avec une immatriculation au registre du commerce et une affiliation à la CNSS.
Grâce à ces documents officiels, elles étaient en mesure de fournir des attestations de travail, des ordres de mission ou encore des justificatifs de participation à des salons professionnels à l’étranger.
Certaines allaient même jusqu’à adhérer à des Chambres de commerce étrangères au Maroc moyennant une cotisation d’environ 3 000 dirhams, renforçant ainsi leur apparente légitimité aux yeux des consulats.
Ces sociétés étaient enregistrées légalement, avec une immatriculation au registre du commerce et une affiliation à la CNSS.
Grâce à ces documents officiels, elles étaient en mesure de fournir des attestations de travail, des ordres de mission ou encore des justificatifs de participation à des salons professionnels à l’étranger.
Certaines allaient même jusqu’à adhérer à des Chambres de commerce étrangères au Maroc moyennant une cotisation d’environ 3 000 dirhams, renforçant ainsi leur apparente légitimité aux yeux des consulats.
Un accès frauduleux aux visas Schengen
Avec ces dossiers falsifiés, de nombreux demandeurs ont pu obtenir un visa Schengen en toute illégalité.
Les fausses entreprises fournissaient des justificatifs de salariat et des attestations de cotisation à la CNSS couvrant plusieurs mois, rendant les demandes plus crédibles aux yeux des services consulaires.
Le démantèlement de ce réseau met en évidence l’ampleur du trafic de faux documents liés aux demandes de visa. Il souligne également les risques encourus par les candidats ayant eu recours à ces méthodes illégales.
En réponse, les autorités consulaires renforcent leurs contrôles et affinent leurs procédures de vérification pour contrer de telles fraudes à l’avenir.
Les fausses entreprises fournissaient des justificatifs de salariat et des attestations de cotisation à la CNSS couvrant plusieurs mois, rendant les demandes plus crédibles aux yeux des services consulaires.
Le démantèlement de ce réseau met en évidence l’ampleur du trafic de faux documents liés aux demandes de visa. Il souligne également les risques encourus par les candidats ayant eu recours à ces méthodes illégales.
En réponse, les autorités consulaires renforcent leurs contrôles et affinent leurs procédures de vérification pour contrer de telles fraudes à l’avenir.












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