Cette situation catastrophique en Afrique trouve ses origines du fait des moyens très limités pour traiter et prévenir les facteurs de risque, notamment les troubles mentaux, qui touchent en 2022, 116 millions de personnes, contre 53 millions en 1990.
D’où la nécessité de campagnes d’incitation à la prévention du suicide dans la région Africiane, qui enregistre le taux le plus élevé de décès par suicide dsns le monde.
Dans un premier temps, une population Africaine de 10 millions de personnes est concernée avec comme projet une extension à un grand nombre dans les années à venir.
D’où la nécessité de campagnes d’incitation à la prévention du suicide dans la région Africiane, qui enregistre le taux le plus élevé de décès par suicide dsns le monde.
Dans un premier temps, une population Africaine de 10 millions de personnes est concernée avec comme projet une extension à un grand nombre dans les années à venir.
Il faut rappeler que pour le Maroc, le Conseil Économique, Social et Environnemental ( CESE) a publié des chiffres affolants.
48,9% de la population marocaine, âgés de 15 ans et plus, souffrent ou ont déjà souffert de différentes formes de troubles mentaux, qui sont susceptibles, s’ils ne sont pas diagnostiqués et traités, de mener au suicide.
Il faut ajouter à cela, que le Maroc ne dispose que de 2431 lits de psychiatrie et que le nombre des psychiatres tous secteurs confondus ( universitaire, public, privé et militaire) ne dépasse pas 454 médecins spécialistes en psychiatrie.
Rédigé par Dr Anwar Cherkaoui
48,9% de la population marocaine, âgés de 15 ans et plus, souffrent ou ont déjà souffert de différentes formes de troubles mentaux, qui sont susceptibles, s’ils ne sont pas diagnostiqués et traités, de mener au suicide.
Il faut ajouter à cela, que le Maroc ne dispose que de 2431 lits de psychiatrie et que le nombre des psychiatres tous secteurs confondus ( universitaire, public, privé et militaire) ne dépasse pas 454 médecins spécialistes en psychiatrie.
Rédigé par Dr Anwar Cherkaoui