Le Maroc accélère sa transition vers la mobilité durable
Objectif : réduire l’empreinte carbone, améliorer l’efficacité énergétique et rendre le transport accessible à tous.
Rabat servira de ville pilote pour tester ces innovations avant un déploiement national.
Une urgence environnementale et économique
Ces chiffres ne sont pas seulement mauvais pour l’environnement, ils pèsent aussi sur la balance commerciale du pays.
Dans un contexte économique fragile, cette transition devient stratégique pour concilier développement et durabilité.
Comment ça va marcher ?
Le projet mise sur la connexion entre tous les modes de transport, des bus aux tramways, en passant par la marche et le vélo.
Des outils technologiques intelligents, basés sur l’intelligence artificielle, permettront d’optimiser la gestion des flux et d’améliorer l’expérience des usagers.
L’accessibilité sera également renforcée pour inclure toutes les catégories de population, avec une attention particulière aux personnes à mobilité réduite et à l’approche genre.
Au cœur du dispositif, l’Observatoire national de la mobilité durable collectera et analysera en temps réel des données techniques, sociales, économiques et environnementales.
Ce centre de veille permettra de guider les politiques publiques et d’accompagner le Maroc vers des systèmes de transport plus durables et inclusifs.
La mobilité verte en action
Les yeux seront rivés sur la pollution, la consommation énergétique et la satisfaction des usagers. Si tout se passe bien, le Maroc pourrait devenir un exemple de mobilité durable et connectée en Afrique du Nord.












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