L’Agence Nationale des Ports : Une Vision portuaire en évolution, mais des défis persistants
Dakhla accélère : trois projets logistique stratégiques
Istiqlal : un Conseil national sous le signe de l’unité nationale, des chantiers sociaux et de l’enjeu électoral
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Achraf Hakimi : Une visite marquante au Complexe Hospitalo-Universitaire Mohammed VI de Rabat
Hommage à Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa à l’occasion de Son anniversaire
Industrie made in Morocco : Une valeur ajoutée supérieure à 50%
Airbus mise davantage sur le Maroc
Inauguration à Dakhla de « Dar Al Moukawil »
Les voyagistes néerlandais attirés par le Maroc
Six secrétaires d’Etat ont intégré l’Exécutif 24/10/2024
Zakia Driouich, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Agriculture, du Développement rural et des Eaux et forêts, chargée de la Pêche maritime.
Omar Hejira, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Industrie et du Commerce, chargé du Commerce extérieur.
Adib Benbrahim, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’Aménagement du Territoire national, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la Ville, chargé de l’Habitat.
Hicham Sabiry, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, chargé de l’Emploi.
Lahcen Essaadi, secrétaire d’Etat auprès de la ministre du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Economie sociale et solidaire, chargé de l’Artisanat et de l’Economie sociale et solidaire.
Abdeljebbar Rachidi, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, chargé de l’Insertion sociale.
Omar Hejira, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Industrie et du Commerce, chargé du Commerce extérieur.
Adib Benbrahim, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’Aménagement du Territoire national, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la Ville, chargé de l’Habitat.
Hicham Sabiry, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences, chargé de l’Emploi.
Lahcen Essaadi, secrétaire d’Etat auprès de la ministre du Tourisme, de l’Artisanat et de l’Economie sociale et solidaire, chargé de l’Artisanat et de l’Economie sociale et solidaire.
Abdeljebbar Rachidi, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, chargé de l’Insertion sociale.
52 000 mosquées, un chiffre record pour le Royaume chérifien 23/10/2024
Le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq, a récemment annoncé que le Maroc compte 52.000 mosquées, reflétant l'importance de la religion dans le pays.
Cette gestion des lieux de culte témoigne du rôle central de la monarchie dans la promotion d'un islam modéré et du lien entre religion et État. Ces mosquées jouent un rôle social et religieux essentiel au sein des communautés, mais la gestion de leur maintenance représente un défi économique.
À l'international, des pays comme l'Arabie Saoudite et la Turquie font face à des enjeux similaires dans l'administration de leurs lieux de culte.
Cette gestion des lieux de culte témoigne du rôle central de la monarchie dans la promotion d'un islam modéré et du lien entre religion et État. Ces mosquées jouent un rôle social et religieux essentiel au sein des communautés, mais la gestion de leur maintenance représente un défi économique.
À l'international, des pays comme l'Arabie Saoudite et la Turquie font face à des enjeux similaires dans l'administration de leurs lieux de culte.
Exonérations d’impôts : un luxe qui coûte cher à l’État ? 23/10/2024
Le ministère de l'Économie et des Finances a révélé que les exonérations fiscales en 2023 ont coûté près de 37 milliards de dirhams à l'État.
Ces mesures, qui bénéficient à certains secteurs et grandes entreprises, soulèvent des questions d'équité fiscale et de pression sur les finances publiques. En 2024, le coût de ces exonérations reste élevé avec 31,4 milliards de dirhams.
Politiquement, ces pratiques sont critiquées pour leur impact sur les recettes de l'État, tandis qu'économiquement et socialement, elles risquent d'accentuer les inégalités. Une réforme fiscale pourrait être nécessaire pour restaurer l'équité.
Ces mesures, qui bénéficient à certains secteurs et grandes entreprises, soulèvent des questions d'équité fiscale et de pression sur les finances publiques. En 2024, le coût de ces exonérations reste élevé avec 31,4 milliards de dirhams.
Politiquement, ces pratiques sont critiquées pour leur impact sur les recettes de l'État, tandis qu'économiquement et socialement, elles risquent d'accentuer les inégalités. Une réforme fiscale pourrait être nécessaire pour restaurer l'équité.
Maroc dans le top 10 des inégalités en baisse 23/10/2024
Selon le dernier rapport d’Oxfam, le Maroc se hisse parmi les 10 pays les plus performants en matière de réduction des inégalités dans la région MENA, atteignant la 73e place mondiale.
Ce progrès s’explique par des investissements dans la santé et la protection sociale, particulièrement après le séisme de 2023. Politiquement, le Maroc se distingue comme un modèle dans la région, mais des défis demeurent, notamment l'accès aux services publics dans les zones rurales.
Comparé à d'autres pays ayant fait face à des catastrophes naturelles, comme le Brésil ou le Mexique, le Maroc devra poursuivre ses efforts pour assurer une réduction durable des écarts sociaux.
Ce progrès s’explique par des investissements dans la santé et la protection sociale, particulièrement après le séisme de 2023. Politiquement, le Maroc se distingue comme un modèle dans la région, mais des défis demeurent, notamment l'accès aux services publics dans les zones rurales.
Comparé à d'autres pays ayant fait face à des catastrophes naturelles, comme le Brésil ou le Mexique, le Maroc devra poursuivre ses efforts pour assurer une réduction durable des écarts sociaux.
PLF 2025 : les médecins sur le pied de guerre 22/10/2024
Le projet de loi de finances 2025 provoque une opposition de la part des médecins du secteur public, qui craignent la suppression progressive de leur statut de fonctionnaires.
Ce changement prévoirait que leurs salaires soient pris en charge par des groupements de santé plutôt que par le budget public, soulevant des inquiétudes sur une précarisation de leurs conditions de travail.
Cette réforme pourrait entraîner des grèves, accentuer les inégalités entre régions, et affecter la qualité des services de santé, en particulier dans les zones rurales.
Ce changement prévoirait que leurs salaires soient pris en charge par des groupements de santé plutôt que par le budget public, soulevant des inquiétudes sur une précarisation de leurs conditions de travail.
Cette réforme pourrait entraîner des grèves, accentuer les inégalités entre régions, et affecter la qualité des services de santé, en particulier dans les zones rurales.
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