Par Kamal El Hassane, journaliste stagiaire à LODJ Média
Cap sur Budapest pour la 14ᵉ manche d’une saison déjà bien lancée. Une semaine seulement après avoir affronté les courbes légendaires de Spa‑Francorchamps, en Belgique, les équipes n’ont pas le temps de souffler. Le Hungaroring, circuit technique et étroit, souvent comparé à Monaco mais sans les murs, fera office de juge de paix avant trois semaines de pause. Sous une météo incertaine, certains pourraient bien tirer leur épingle du jeu.
McLaren arrive lancée : trois doublés consécutifs, une MCL39 solide dans toutes les conditions et une gestion des pneus qui fait la différence. Oscar Piastri, vainqueur à Spa et ici même l’an dernier, mène toujours le championnat avec 16 points d’avance sur Lando Norris. Mais rien n’est figé. Norris le fait savoir : il aime ce circuit et pourrait bien profiter de l’occasion pour recoller, voire inverser la tendance. Entre les deux, le combat est propre, mais pour combien de temps encore ?
Ferrari, quant à elle, garde l’œil sur le duo papaya. La nouvelle suspension arrière a montré des signes encourageants à Spa, avec un podium pour Charles Leclerc et une course solide pour Lewis Hamilton qui, malgré des qualifications ratées, a fini 7ᵉ en ayant commencé depuis la pitlane. À Budapest, l’un des circuits préférés du Britannique, les virages lents et la motricité jouent un rôle central. Si la SF-25 confirme sa stabilité retrouvée, l’équipe au cheval cabré a des raisons d’y croire.
Chez Mercedes, la situation reste instable. La W16 peine à trouver de la constance, surtout lorsque les températures montent. Et, avec la chaleur attendue ce week-end, la dégradation des pneus pourrait à nouveau être un point faible. Andrea Kimi Antonelli traverse une période délicate, manquant de confiance depuis plusieurs courses. George Russell, nouveau leader du géant allemand, parvient à limiter les dégâts, mais l’écurie est loin de ses standards habituels. Les évolutions mineures prévues à Budapest suffiront-elles à inverser la tendance ? Rien n’est moins sûr.
Red Bull reste en retrait, mais pas larguée. La RB21, parfois capricieuse, semble mieux respirer depuis ses dernières évolutions aérodynamiques. Le Hungaroring n’est pas son terrain préféré, mais Max Verstappen reste une menace constante, surtout s’il parvient à extraire un tour parfait en qualifications. Beaucoup le savent désormais : le lion néerlandais n’est jamais à négliger.
Derrière, Alpine mise encore sur Gasly, tandis que Colapinto tente de marquer ses premiers points. Racing Bulls progresse, Sauber stabilise, et Aston Martin espère enfin transformer ses idées en résultats. Tout est encore ouvert dans le milieu de peloton.
Ce Grand Prix sera peut-être le théâtre d’un nouveau doublé McLaren, d’un réveil rouge, d’un retour de Mercedes ou d’un scénario inattendu. Avec la pluie en embuscade et la chaleur comme facteur X, les certitudes sont fragiles. Ce qui est certain, en revanche, c’est que chacun veut partir en vacances avec autre chose qu’un goût d’inachevé.
McLaren arrive lancée : trois doublés consécutifs, une MCL39 solide dans toutes les conditions et une gestion des pneus qui fait la différence. Oscar Piastri, vainqueur à Spa et ici même l’an dernier, mène toujours le championnat avec 16 points d’avance sur Lando Norris. Mais rien n’est figé. Norris le fait savoir : il aime ce circuit et pourrait bien profiter de l’occasion pour recoller, voire inverser la tendance. Entre les deux, le combat est propre, mais pour combien de temps encore ?
Ferrari, quant à elle, garde l’œil sur le duo papaya. La nouvelle suspension arrière a montré des signes encourageants à Spa, avec un podium pour Charles Leclerc et une course solide pour Lewis Hamilton qui, malgré des qualifications ratées, a fini 7ᵉ en ayant commencé depuis la pitlane. À Budapest, l’un des circuits préférés du Britannique, les virages lents et la motricité jouent un rôle central. Si la SF-25 confirme sa stabilité retrouvée, l’équipe au cheval cabré a des raisons d’y croire.
Chez Mercedes, la situation reste instable. La W16 peine à trouver de la constance, surtout lorsque les températures montent. Et, avec la chaleur attendue ce week-end, la dégradation des pneus pourrait à nouveau être un point faible. Andrea Kimi Antonelli traverse une période délicate, manquant de confiance depuis plusieurs courses. George Russell, nouveau leader du géant allemand, parvient à limiter les dégâts, mais l’écurie est loin de ses standards habituels. Les évolutions mineures prévues à Budapest suffiront-elles à inverser la tendance ? Rien n’est moins sûr.
Red Bull reste en retrait, mais pas larguée. La RB21, parfois capricieuse, semble mieux respirer depuis ses dernières évolutions aérodynamiques. Le Hungaroring n’est pas son terrain préféré, mais Max Verstappen reste une menace constante, surtout s’il parvient à extraire un tour parfait en qualifications. Beaucoup le savent désormais : le lion néerlandais n’est jamais à négliger.
Derrière, Alpine mise encore sur Gasly, tandis que Colapinto tente de marquer ses premiers points. Racing Bulls progresse, Sauber stabilise, et Aston Martin espère enfin transformer ses idées en résultats. Tout est encore ouvert dans le milieu de peloton.
Ce Grand Prix sera peut-être le théâtre d’un nouveau doublé McLaren, d’un réveil rouge, d’un retour de Mercedes ou d’un scénario inattendu. Avec la pluie en embuscade et la chaleur comme facteur X, les certitudes sont fragiles. Ce qui est certain, en revanche, c’est que chacun veut partir en vacances avec autre chose qu’un goût d’inachevé.












L'accueil

















