Par Dr Anwar CHERKAOUI, médecin expert en communication médicale et journalisme de santé
Le 20e Congrès Maghrébin des Maladies Endocriniennes, du Diabète et de la Nutrition, qui se tiendra à Marrakech du 16 au 19 octobre 2025, promet de faire avancer la réflexion sur les nouvelles approches du traitement du diabète.
Parmi les interventions les plus attendues figure celle du Pr Kaoutar Rifai, endocrinologue reconnue à l’échelle internationale, qui présentera les dernières données sur un dispositif innovant : le pancréas artificiel bi-hormonal.
Ce système repose sur l’utilisation conjointe de deux hormones :
L’insuline, pour corriger l’excès de sucre dans le sang (hyperglycémie),
et le glucagon, pour prévenir ou corriger une chute excessive du taux de sucre (hypoglycémie).
L’ensemble est piloté par un capteur de glucose en continu et un algorithme intelligent, capable d’ajuster automatiquement les doses délivrées selon les variations glycémiques du patient.
Ce type de dispositif représente une avancée importante, notamment pour les patients atteints de diabète de type 1, car il pourrait leur offrir une meilleure stabilité métabolique avec moins d’interventions manuelles.
Si la technologie est encore en phase d’évaluation clinique dans plusieurs pays, les résultats préliminaires sont prometteurs, notamment en matière de réduction des épisodes d’hypoglycémie nocturne.
Le pancréas artificiel bi-hormonal ne remplace pas la vigilance, ni les efforts du patient, mais il propose une aide automatisée précieuse, plus proche du fonctionnement naturel du pancréas humain.
Parmi les interventions les plus attendues figure celle du Pr Kaoutar Rifai, endocrinologue reconnue à l’échelle internationale, qui présentera les dernières données sur un dispositif innovant : le pancréas artificiel bi-hormonal.
Ce système repose sur l’utilisation conjointe de deux hormones :
L’insuline, pour corriger l’excès de sucre dans le sang (hyperglycémie),
et le glucagon, pour prévenir ou corriger une chute excessive du taux de sucre (hypoglycémie).
L’ensemble est piloté par un capteur de glucose en continu et un algorithme intelligent, capable d’ajuster automatiquement les doses délivrées selon les variations glycémiques du patient.
Ce type de dispositif représente une avancée importante, notamment pour les patients atteints de diabète de type 1, car il pourrait leur offrir une meilleure stabilité métabolique avec moins d’interventions manuelles.
Si la technologie est encore en phase d’évaluation clinique dans plusieurs pays, les résultats préliminaires sont prometteurs, notamment en matière de réduction des épisodes d’hypoglycémie nocturne.
Le pancréas artificiel bi-hormonal ne remplace pas la vigilance, ni les efforts du patient, mais il propose une aide automatisée précieuse, plus proche du fonctionnement naturel du pancréas humain.