Maroc : 28 % des jeunes rêvent d’ailleurs, le chômage au cœur des préoccupations !
Un chiffre qui interpelle : 28 % des jeunes Marocains envisagent sérieusement de quitter le pays. Une enquête Afrobarometer révèle que le chômage est leur principale source de frustration.
L’étude menée par Afrobarometer met en lumière une réalité préoccupante. Près de 80 % des jeunes interrogés se disent insatisfaits des politiques d’emploi. L’absence de perspectives professionnelles pousse un tiers d’entre eux à envisager l’émigration, souvent pour des raisons économiques. La jeunesse marocaine, pourtant dynamique et ambitieuse, se heurte à un marché du travail saturé et peu valorisant.
Le Maroc est à un tournant. Ces chiffres soulèvent des questions cruciales sur l’avenir du pays. Si les jeunes, qui représentent une grande partie de la population, perdent espoir, cela pourrait avoir des répercussions sur l’économie, la stabilité sociale et même l’image du Maroc à l’international. Pour un Marocain, c’est une piqûre de rappel : il est urgent de repenser les politiques publiques pour offrir des opportunités à cette génération.
Sur les réseaux sociaux, les réactions fusent. Certains dénoncent une « fuite des cerveaux » imminente, tandis que d’autres appellent à des réformes profondes pour relancer l’emploi. Des figures publiques, comme des influenceurs et des militants, ont également pris la parole pour demander plus d’investissement dans l’éducation et l’entrepreneuriat.
Face à cette situation, une question se pose : le Maroc saura-t-il inverser la tendance et redonner espoir à sa jeunesse ? Les prochains mois seront décisifs pour répondre à cette crise sociale.
L’étude menée par Afrobarometer met en lumière une réalité préoccupante. Près de 80 % des jeunes interrogés se disent insatisfaits des politiques d’emploi. L’absence de perspectives professionnelles pousse un tiers d’entre eux à envisager l’émigration, souvent pour des raisons économiques. La jeunesse marocaine, pourtant dynamique et ambitieuse, se heurte à un marché du travail saturé et peu valorisant.
Le Maroc est à un tournant. Ces chiffres soulèvent des questions cruciales sur l’avenir du pays. Si les jeunes, qui représentent une grande partie de la population, perdent espoir, cela pourrait avoir des répercussions sur l’économie, la stabilité sociale et même l’image du Maroc à l’international. Pour un Marocain, c’est une piqûre de rappel : il est urgent de repenser les politiques publiques pour offrir des opportunités à cette génération.
Sur les réseaux sociaux, les réactions fusent. Certains dénoncent une « fuite des cerveaux » imminente, tandis que d’autres appellent à des réformes profondes pour relancer l’emploi. Des figures publiques, comme des influenceurs et des militants, ont également pris la parole pour demander plus d’investissement dans l’éducation et l’entrepreneuriat.
Face à cette situation, une question se pose : le Maroc saura-t-il inverser la tendance et redonner espoir à sa jeunesse ? Les prochains mois seront décisifs pour répondre à cette crise sociale.












L'accueil





















