À l’hôpital Hassan II d’Agadir, la coordination syndicale critique les sanctions prises par le ministère de la Santé
La coordination syndicale nationale du secteur de la santé dénonce une injustice après la suspension de plusieurs professionnels à l’hôpital Hassan II d’Agadir, suite à la mort de huit femmes enceintes.
Les syndicats rejettent la responsabilité sur les soignants, qu’ils considèrent comme des boucs émissaires, et pointent plutôt des défaillances structurelles du système de santé : manque de personnel, infrastructures dégradées et budgets insuffisants.
Ils critiquent également la communication du ministère et appellent à une réforme profonde, tout en défendant les professionnels suspendus et en exigeant la levée des sanctions et la clarification du cadre juridique des métiers de la santé.
Les syndicats rejettent la responsabilité sur les soignants, qu’ils considèrent comme des boucs émissaires, et pointent plutôt des défaillances structurelles du système de santé : manque de personnel, infrastructures dégradées et budgets insuffisants.
Ils critiquent également la communication du ministère et appellent à une réforme profonde, tout en défendant les professionnels suspendus et en exigeant la levée des sanctions et la clarification du cadre juridique des métiers de la santé.












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