En volume, les chiffres du département de M. Lahlimi, prenant en considération l’accroissement des impôts sur les produits nets des subventions de 2,7 % au lieu de 0,7 %, font état d’une progression de 3,5 % du Produit Intérieur Brut au lieu de 0,5 % le premier trimestre de l’année précédente.
Et ce, au moment où, tenant compte d’augmentation du niveau général des prix de 5,4 %, le PIB, aux prix courants, a enregistré une hausse de 8,9 %.
En détails, cet arrêté de comptes donne un aperçu sur les ressorts de la croissance au titre de ce premier trimestre.
L’on retiendra que :
Suite à la hausse de l’activité de l’agriculture de 6,9% au lieu d’une baisse de 12,2% et par le ralentissement de la croissance de la pêche à 0,3% au lieu 3,3%, "la valeur ajoutée du secteur primaire en volume, corrigée des variations saisonnières a enregistré une augmentation de 6,6% au premier trimestre 2023 au lieu d’une baisse de 11,3% durant la même période en 2022.
La valeur ajoutée du secteur tertiaire a réalisé une augmentation de 5,4 % au lieu de 4,6 % le même trimestre de l’année 2022, marquée essentiellement, par une amélioration des activités :
• des hôtels et restaurants, avec 53,9 % au lieu de 31,6 % ;
• du transport, avec 7,1 % au lieu de 2,3 % ;
• des services financiers et assurances, avec 5,4 % au lieu de 4,5 % ;
• des services rendus par l’Administration Publique générale et la sécurité sociale, avec 4,6 % au lieu de 4,5 % ;
Et ce, malgré le ralentissement de la croissance des activités :
• des services de l’éducation, de la santé et de l’action sociale à 4,5 % au lieu de 5,9 % ;
• de recherche et développement et services rendus aux entreprises à 2,1 % au lieu de 4 % ;
• du commerce et réparation de véhicules à 1,5 % au lieu de 2,5 % ;
• des postes et télécommunications à 0,9 % au lieu de 3,8 %.
La valeur ajoutée du secteur secondaire, en revanche, a affiché une baisse de 1,3 % au lieu d’une baisse de 2,1 % durant le premier trimestre de l’année précédente. Ceci a été le résultat de la baisse des valeurs ajoutées :
• de l’industrie d’extraction de 11,8 % au lieu d’une baisse de 4,4 % ;
• du bâtiment et travaux publics de 3,4 % au lieu d’une baisse de 0,9 % ;
• de l’électricité et eau de 2,4 % au lieu d’une hausse de 0,1 % ;
Et de la hausse de celles des industries de transformation de 1,8 % au lieu d’une baisse de 2,7 %. "
Et ce, au moment où, tenant compte d’augmentation du niveau général des prix de 5,4 %, le PIB, aux prix courants, a enregistré une hausse de 8,9 %.
En détails, cet arrêté de comptes donne un aperçu sur les ressorts de la croissance au titre de ce premier trimestre.
L’on retiendra que :
Suite à la hausse de l’activité de l’agriculture de 6,9% au lieu d’une baisse de 12,2% et par le ralentissement de la croissance de la pêche à 0,3% au lieu 3,3%, "la valeur ajoutée du secteur primaire en volume, corrigée des variations saisonnières a enregistré une augmentation de 6,6% au premier trimestre 2023 au lieu d’une baisse de 11,3% durant la même période en 2022.
La valeur ajoutée du secteur tertiaire a réalisé une augmentation de 5,4 % au lieu de 4,6 % le même trimestre de l’année 2022, marquée essentiellement, par une amélioration des activités :
• des hôtels et restaurants, avec 53,9 % au lieu de 31,6 % ;
• du transport, avec 7,1 % au lieu de 2,3 % ;
• des services financiers et assurances, avec 5,4 % au lieu de 4,5 % ;
• des services rendus par l’Administration Publique générale et la sécurité sociale, avec 4,6 % au lieu de 4,5 % ;
Et ce, malgré le ralentissement de la croissance des activités :
• des services de l’éducation, de la santé et de l’action sociale à 4,5 % au lieu de 5,9 % ;
• de recherche et développement et services rendus aux entreprises à 2,1 % au lieu de 4 % ;
• du commerce et réparation de véhicules à 1,5 % au lieu de 2,5 % ;
• des postes et télécommunications à 0,9 % au lieu de 3,8 %.
La valeur ajoutée du secteur secondaire, en revanche, a affiché une baisse de 1,3 % au lieu d’une baisse de 2,1 % durant le premier trimestre de l’année précédente. Ceci a été le résultat de la baisse des valeurs ajoutées :
• de l’industrie d’extraction de 11,8 % au lieu d’une baisse de 4,4 % ;
• du bâtiment et travaux publics de 3,4 % au lieu d’une baisse de 0,9 % ;
• de l’électricité et eau de 2,4 % au lieu d’une hausse de 0,1 % ;
Et de la hausse de celles des industries de transformation de 1,8 % au lieu d’une baisse de 2,7 %. "