La quarantaine et l'enfance sont des périodes sensibles au stress, affectant le risque d'Alzheimer. Le stress peut aggraver les réponses inflammatoires cérébrales et augmenter ce risque. Les réactions au stress diffèrent entre hommes et femmes, avec des impacts variés sur le cerveau.
Les antécédents de troubles psychiatriques exacerbent ce risque. Cependant, des limites, comme la fiabilité de la mémoire des participants, sont présentes dans l'étude.
Les antécédents de troubles psychiatriques exacerbent ce risque. Cependant, des limites, comme la fiabilité de la mémoire des participants, sont présentes dans l'étude.