Maroc : deux décennies de progression marquante des crimes de falsification et d’usurpation selon l’Observatoire national de la criminalité
Entre 2002 et 2022, le Maroc a enregistré une hausse notable des crimes de falsification, de contrefaçon et d’usurpation de fonction, de titre ou d’identité, selon l’Observatoire national de la criminalité.
Les pics ont été atteints en 2005 et 2019, avec respectivement plus de 7 000 et 9 000 affaires et des milliers de personnes poursuivies. Les usurpations représentent près de la moitié des infractions, suivies des falsifications de documents administratifs et des faux commerciaux ou bancaires.
Malgré une baisse relative après 2019, ces délits restent surveillés en raison de leur lien avec la criminalité économique et numérique. Le rapport souligne également une diversification générale de la criminalité au Maroc sur deux décennies.
Les pics ont été atteints en 2005 et 2019, avec respectivement plus de 7 000 et 9 000 affaires et des milliers de personnes poursuivies. Les usurpations représentent près de la moitié des infractions, suivies des falsifications de documents administratifs et des faux commerciaux ou bancaires.
Malgré une baisse relative après 2019, ces délits restent surveillés en raison de leur lien avec la criminalité économique et numérique. Le rapport souligne également une diversification générale de la criminalité au Maroc sur deux décennies.












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