Le Festival international du cinéma africain de Khouribga (FICAK) revient du 21 au 28 juin pour une 25e édition pas comme les autres. Cette année, le thème choisi, “Du griot à l’algorithme, le cinéma évolue” promet un véritable voyage entre les contes ancestraux et les codes futuristes. Le festival, organisé sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, entend interroger la place de l’intelligence artificielle dans l’avenir du 7e art africain.
Alors que l’IA s’impose partout, du bureau aux studios de musique, en passant par nos fils d’actualité, le FICAK prend le pari de penser cette révolution en profondeur, depuis les terres rouges de Khouribga. Et c’est loin d’être un simple gadget technologique.
Alors que l’IA s’impose partout, du bureau aux studios de musique, en passant par nos fils d’actualité, le FICAK prend le pari de penser cette révolution en profondeur, depuis les terres rouges de Khouribga. Et c’est loin d’être un simple gadget technologique.
Une programmation riche pour penser le futur sans oublier le passé
Pour mieux cerner ce lien entre IA et cinéma, une conférence dédiée sera organisée pendant le festival. L’objectif ? Comprendre comment ces technologies transforment nos récits et nos imaginaires. En clair : comment faire évoluer le cinéma africain sans en trahir l’âme ?
La programmation de cette 25e édition s’annonce dense :
15 longs-métrages en compétition officielle,
15 courts-métrages également en lice,
Et des jurys internationaux (cinq membres pour les longs, trois pour les courts), comme pour rappeler que le regard africain se pense aussi avec le monde.
La Mauritanie est l’invitée d’honneur de cette édition. Une belle façon de tisser des ponts culturels entre pays voisins, liés par des histoires, des langues et une même envie de raconter.
Le festival s’ouvre aussi hors les murs, notamment à Benguerir, dans une volonté affirmée de “sortir du cadre” et de faire rayonner le FICAK dans d’autres territoires. Une décentralisation qui colle bien à l’idée d’un cinéma en mouvement.
La programmation de cette 25e édition s’annonce dense :
15 longs-métrages en compétition officielle,
15 courts-métrages également en lice,
Et des jurys internationaux (cinq membres pour les longs, trois pour les courts), comme pour rappeler que le regard africain se pense aussi avec le monde.
La Mauritanie est l’invitée d’honneur de cette édition. Une belle façon de tisser des ponts culturels entre pays voisins, liés par des histoires, des langues et une même envie de raconter.
Le festival s’ouvre aussi hors les murs, notamment à Benguerir, dans une volonté affirmée de “sortir du cadre” et de faire rayonner le FICAK dans d’autres territoires. Une décentralisation qui colle bien à l’idée d’un cinéma en mouvement.
Le FICAK, entre hommages et nouveaux horizons
Le festival ne manque pas de mémoire. Il rendra hommage à des figures du cinéma africain et marocain, en reconnaissance de leurs carrières et de leur contribution à la vitalité du 7e art sur le continent. Une façon de dire que si l’algorithme est nouveau, le griot, lui, n’est pas prêt de se taire.
Autres moments forts :
Le Prix de la critique cinématographique africaine est maintenu,
Un nouveau prix des Ciné Clubs africains fait son apparition,
Et la 6e édition du Festival culturel des détenus africains aura lieu à la prison locale de Khouribga, preuve que la culture peut traverser toutes les grilles.
Les enfants ne sont pas oubliés : plusieurs projections leur seront dédiées, dans une démarche d’éducation artistique précoce et inclusive.
En somme, le FICAK, dont la première édition remonte à 1977, nous rappelle que l’Afrique ne filme pas seulement son passé, elle invente aussi son futur.
Autres moments forts :
Le Prix de la critique cinématographique africaine est maintenu,
Un nouveau prix des Ciné Clubs africains fait son apparition,
Et la 6e édition du Festival culturel des détenus africains aura lieu à la prison locale de Khouribga, preuve que la culture peut traverser toutes les grilles.
Les enfants ne sont pas oubliés : plusieurs projections leur seront dédiées, dans une démarche d’éducation artistique précoce et inclusive.
En somme, le FICAK, dont la première édition remonte à 1977, nous rappelle que l’Afrique ne filme pas seulement son passé, elle invente aussi son futur.