Le vendredi 3 mars 2023, plus d’une centaine d’experts, principalement des juristes, des médecins et des psychologues qui ont travaillé pendant une longue période sur le sujet de la gestation pour autrui (GPA), ont signé la « Déclaration de Casablanca ».
Ce texte demande l’abrogation universelle de cette pratique et se concentre sur un seul objectif ultime: mettre fin, partout où elle est autorisée ou tolérée, à la pratique de la gestation pour autrui.
Selon ces experts, la gestation pour autrui est intrinsèquement contraire à la dignité humaine et aucun encadrement, quelle que soit sa nature, ne peut rendre acceptable le recours aux mères porteuses.
Selon la « Déclaration de Casablanca », l’utilisation d’une mère porteuse en tant que méthode de procréation est considérée comme non éthique, ce qui justifie l’urgence de condamner la gestation pour autrui sous toutes ses formes, qu’elle soit rémunérée ou non, et de prendre des mesures pour combattre cette pratique.
Ces mesures incluent l’interdiction définitive de la gestation pour autrui, l’invalidation de tout contrat juridique impliquant l’engagement d’une femme à porter et remettre un enfant, la sanction des intermédiaires et des personnes qui recourent à cette pratique sur leur territoire ou en dehors de leur territoire, ainsi que l’adoption d’un instrument juridique international qui stipule l’abolition universelle de la gestation pour autrui.
Ce texte demande l’abrogation universelle de cette pratique et se concentre sur un seul objectif ultime: mettre fin, partout où elle est autorisée ou tolérée, à la pratique de la gestation pour autrui.
Selon ces experts, la gestation pour autrui est intrinsèquement contraire à la dignité humaine et aucun encadrement, quelle que soit sa nature, ne peut rendre acceptable le recours aux mères porteuses.
Selon la « Déclaration de Casablanca », l’utilisation d’une mère porteuse en tant que méthode de procréation est considérée comme non éthique, ce qui justifie l’urgence de condamner la gestation pour autrui sous toutes ses formes, qu’elle soit rémunérée ou non, et de prendre des mesures pour combattre cette pratique.
Ces mesures incluent l’interdiction définitive de la gestation pour autrui, l’invalidation de tout contrat juridique impliquant l’engagement d’une femme à porter et remettre un enfant, la sanction des intermédiaires et des personnes qui recourent à cette pratique sur leur territoire ou en dehors de leur territoire, ainsi que l’adoption d’un instrument juridique international qui stipule l’abolition universelle de la gestation pour autrui.