Un mouvement en perte de repères
Elle aligne les mêmes références éculées au « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », tout en ignorant le contexte : le Conseil de sécurité reconnaît désormais la primauté de la solution politique réaliste proposée par le Maroc.
Et comment parler de « justice » ou de « paix » quand ce même mouvement est accusé par le Secrétaire général de l’ONU d’avoir bombardé des zones civiles à Smara et Mahbès ?
Il faut une bonne dose d’amnésie morale pour se prétendre « mouvement de libération » en visant des marchés et des habitations.
Un défi illusoire à la première puissance mondiale
- Comment une organisation sans légitimité démocratique, isolée diplomatiquement et totalement dépendante du régime militaire algérien, peut-elle prétendre corriger la diplomatie américaine ?
- De quel soutien réel dispose-t-elle ?
- D’un voisin enfermé dans sa rhétorique anti-marocaine, dont la crédibilité internationale s’effrite chaque année un peu plus ?
- Ou bien de quelques ONG idéologisées d’Europe du Nord, plus actives sur les réseaux sociaux que dans les chancelleries ?
Le monde a changé.
Les puissances ne s’amusent plus à entretenir des conflits gelés pour flatter des causes perdues. L’Amérique regarde vers l’avenir : stabilité, sécurité, intégration régionale. Et dans cette équation, le Maroc est un partenaire de confiance.
Le Maroc, un acteur de stabilité
Ce modèle s’inscrit dans la modernité : gouvernance territoriale, développement humain, participation démocratique. C’est une vision tournée vers la paix et la prospérité, alors que le discours du Polisario demeure ancré dans une nostalgie révolutionnaire stérile.
Une marginalisation auto-infligée
Et on ne se prétend pas la voix d’un peuple quand ce peuple aspire simplement à rentrer chez lui, dans son Sahara marocain, pour y vivre en paix et participer à la construction d’un avenir commun.
le temps des illusions est révolu
Le consensus international se dessine : seule une solution politique réaliste peut garantir la stabilité régionale. À travers son plan d’autonomie, le Maroc offre cette voie.
Le Polisario, en s’enfermant dans son refus systématique, choisit la marginalité et la perte d’influence.
L’histoire avance ; elle ne s’écrit plus avec des slogans, mais avec une vision.
Par Abdelghani El Arrasse












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