Ces faits ont été rapportés dans un article d’Assabah.
L’enquête mandatée par le procureur général du Roi concernant l’affaire des injections oculaires à l’hôpital du 20 août, qui ont provoqué de graves complications chez 16 patients, a mis en lumière de sérieux problèmes de fonctionnement. Les enquêteurs de la BNPJ ont débuté les interrogatoires des équipes médicales et paramédicales impliquées dans ces procédures.
Selon des sources bien informées, l’hypothèse d’une erreur médicale est privilégiée. En effet, il a été découvert que le médicament utilisé n’était pas autorisé pour le traitement des maladies de la rétine chez les patients diabétiques. De plus, ce médicament n’avait pas obtenu d’autorisation de mise sur le marché délivrée par la Direction des Médicaments et de la Pharmacie (DMP) relevant du ministère de la Santé.
Il est à noter que les compagnies d’assurance maladie n’incluent pas ce médicament dans la liste des médicaments remboursables lorsqu’il est prescrit par un ophtalmologue. L’absence d’autorisation de mise sur le marché soulève de nombreuses questions, notamment sur la manière dont il a pu être inclus dans le protocole de traitement des maladies de la rétine au sein d’un important hôpital public du pays.
En outre, le ministère de la Santé, chargé de faire respecter les lois en vigueur et de surveiller les médicaments, semble avoir ignoré la prescription d’un médicament qui n’avait pas reçu d’autorisation pour sa commercialisation.
Le quotidien souligne que cette autorisation n’est délivrée par le service compétent qu’après avoir examiné les études et recherches scientifiques réalisées sur ce médicament. De plus, les ophtalmologues ont adressé une lettre au ministère de la Santé, lui demandant s’ils pouvaient continuer à prescrire le Bévacizumab aux patients diabétiques.
Ils exhortent également le ministre à accélérer le processus d’autorisation de mise sur le marché de ce médicament, afin que les patients puissent bénéficier de l’assurance maladie. Ils soulignent également que le médicament autorisé pour le traitement des maladies de la rétine est très coûteux, et la plupart des ophtalmologues prescrivent le Bévacizumab car il est 40 fois moins cher.
Par conséquent, ils appellent le ministre de la Santé à intervenir, car l’arrêt de la prescription de ce médicament aurait des conséquences graves pour les citoyens qui ne peuvent pas se permettre un médicament coûteux.
Selon des sources bien informées, l’hypothèse d’une erreur médicale est privilégiée. En effet, il a été découvert que le médicament utilisé n’était pas autorisé pour le traitement des maladies de la rétine chez les patients diabétiques. De plus, ce médicament n’avait pas obtenu d’autorisation de mise sur le marché délivrée par la Direction des Médicaments et de la Pharmacie (DMP) relevant du ministère de la Santé.
Il est à noter que les compagnies d’assurance maladie n’incluent pas ce médicament dans la liste des médicaments remboursables lorsqu’il est prescrit par un ophtalmologue. L’absence d’autorisation de mise sur le marché soulève de nombreuses questions, notamment sur la manière dont il a pu être inclus dans le protocole de traitement des maladies de la rétine au sein d’un important hôpital public du pays.
En outre, le ministère de la Santé, chargé de faire respecter les lois en vigueur et de surveiller les médicaments, semble avoir ignoré la prescription d’un médicament qui n’avait pas reçu d’autorisation pour sa commercialisation.
Le quotidien souligne que cette autorisation n’est délivrée par le service compétent qu’après avoir examiné les études et recherches scientifiques réalisées sur ce médicament. De plus, les ophtalmologues ont adressé une lettre au ministère de la Santé, lui demandant s’ils pouvaient continuer à prescrire le Bévacizumab aux patients diabétiques.
Ils exhortent également le ministre à accélérer le processus d’autorisation de mise sur le marché de ce médicament, afin que les patients puissent bénéficier de l’assurance maladie. Ils soulignent également que le médicament autorisé pour le traitement des maladies de la rétine est très coûteux, et la plupart des ophtalmologues prescrivent le Bévacizumab car il est 40 fois moins cher.
Par conséquent, ils appellent le ministre de la Santé à intervenir, car l’arrêt de la prescription de ce médicament aurait des conséquences graves pour les citoyens qui ne peuvent pas se permettre un médicament coûteux.