Cette initiative s'inscrit dans la vision plus large du Maroc de devenir un hub majeur de la mobilité électrique en Afrique et dans le bassin méditerranéen. Le timing de cette rencontre est particulièrement pertinent, alors que le marché mondial des batteries électriques devrait atteindre 310 milliards de dollars d'ici 2027, selon les dernières projections de Bloomberg NEF.
 

"Cette collaboration potentielle représente une opportunité unique pour le Maroc de se positionner sur la chaîne de valeur des véhicules électriques", explique un expert en transition énergétique. "Elle pourrait générer des milliers d'emplois qualifiés et accélérer le transfert de technologies de pointe."
 

Le projet s'inscrit dans la continuité du succès de l'industrie automobile marocaine, qui a déjà attiré des constructeurs majeurs comme Renault et Stellantis. L'ajout d'une capacité de production de batteries électriques compléterait parfaitement l'écosystème existant.