Dr Anwar CHERKAOUI
Vont prendre part au débat Dr À. Belghiti ALaoui, Pr A. Cherif Chefchaouni, Pr. Moudene et M. J.L. Festeraerts.
Dr Hachem TYAL, psychiatre, psychanalyste et directeur médical d’une clinique psychiatrique « Les Lilas » et vice président de l’association marocaine des cliniques privées, assurera demain samedi à Casablanca, la modération d’une conférence débat sur le thème du management qualité et d'accréditation des établissements de soins, relevant aussi bien du secteur publique que libéral.
Cette conférence débat est d’une grande utilité pour les directeurs de cliniques, qui foisonnent dans notre pays ces derniers temps, comme des champignons. Généralisation de l’assurance maladie oblige. Attrait du gain ou l’exercice d’une médecine de qualité. La question est posée.
Mais, une chose est certaine, le contrôle de toutes ces nouvelles structures de soins, ne peut se faire aujourd’hui dans les règles de l’art.
Le ministère de la santé n’a ni le pouvoir ni les outils pour le faire.
Et les ordres national et régionaux des médecins sont faibles et quasiment absents.
Malgré cela, cette rencontre liée au management moderne de la santé gagnerait en crédibilité si elle sortait avec de véritables recommandations à présenter au Ministère de la santé, qui souffre aujourd’hui d’un trou abyssal, l’absence dans son organigramme d’un département ou d’une direction de la médecine libéral.
Aux dernières statistiques, le Royaume du Maroc a plus de médecins dans le secteur libéral que dans le secteur public.
Dr Hachem TYAL, psychiatre, psychanalyste et directeur médical d’une clinique psychiatrique « Les Lilas » et vice président de l’association marocaine des cliniques privées, assurera demain samedi à Casablanca, la modération d’une conférence débat sur le thème du management qualité et d'accréditation des établissements de soins, relevant aussi bien du secteur publique que libéral.
Cette conférence débat est d’une grande utilité pour les directeurs de cliniques, qui foisonnent dans notre pays ces derniers temps, comme des champignons. Généralisation de l’assurance maladie oblige. Attrait du gain ou l’exercice d’une médecine de qualité. La question est posée.
Mais, une chose est certaine, le contrôle de toutes ces nouvelles structures de soins, ne peut se faire aujourd’hui dans les règles de l’art.
Le ministère de la santé n’a ni le pouvoir ni les outils pour le faire.
Et les ordres national et régionaux des médecins sont faibles et quasiment absents.
Malgré cela, cette rencontre liée au management moderne de la santé gagnerait en crédibilité si elle sortait avec de véritables recommandations à présenter au Ministère de la santé, qui souffre aujourd’hui d’un trou abyssal, l’absence dans son organigramme d’un département ou d’une direction de la médecine libéral.
Aux dernières statistiques, le Royaume du Maroc a plus de médecins dans le secteur libéral que dans le secteur public.