Bruxelles – 14 mai 2025. C’est un événement que peu d’observateurs avaient vu venir, et qui risque d’ébranler durablement la confiance dans les institutions européennes : la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) a rendu un arrêt historique en condamnant la Commission européenne et sa présidente, Ursula von der Leyen, dans le cadre de l’affaire désormais connue sous le nom de “PfizerGate”.
Au cœur de cette affaire explosive : la gestion opaque des contrats de vaccins Covid-19, et notamment les échanges de SMS privés entre von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, qui ont précédé la signature du plus grand contrat de fourniture vaccinale jamais conclu par l’Union européenne. Ces messages, disparus sans explication et jamais rendus publics malgré les demandes répétées de plusieurs eurodéputés, avaient suscité l'indignation de nombreuses ONG et médias.
La CJUE, saisie par plusieurs plaignants — dont l’eurodéputé belge Marc Botenga et l'association Transparency International — a considéré que la Commission a gravement enfreint les obligations de transparence et de bonne gouvernance imposées par les traités européens. Plus encore, elle juge que le refus de fournir les SMS ou de justifier leur suppression constitue une violation manifeste du droit d’accès à l’information publique.
Mais cette décision va bien au-delà du simple symbole. Elle relance toutes les procédures pénales en cours, notamment en Belgique, où une plainte a été déposée devant le parquet de Liège contre von der Leyen pour prise illégale d’intérêt, destruction de preuve et favoritisme. En France, des associations de juristes évoquent même la possibilité d’une saisine de la Cour pénale internationale.
Cette condamnation ouvre une brèche redoutable : jamais une figure de premier plan de l’Union n’avait été ainsi mise en cause dans une affaire mêlant intérêts privés et santé publique à une telle échelle. Le scandale pourrait fragiliser davantage une Commission déjà critiquée pour sa gestion technocratique et distante des citoyens.
Ursula von der Leyen, qui briguait un second mandat, voit désormais son avenir politique sérieusement compromis. Plusieurs chefs d’État hésitent désormais à soutenir sa reconduction.
Et si cette décision marquait surtout un baroud d’honneur d’une institution judiciaire en quête de légitimité ? Derrière le choc politique, certains dénoncent une instrumentalisation juridique orchestrée par des opposants politiques et des États membres hostiles à la Commission. Les SMS effacés sont-ils réellement la preuve d’une malversation, ou simplement la trace d’une gestion de crise improvisée mais efficace ?
Au cœur de cette affaire explosive : la gestion opaque des contrats de vaccins Covid-19, et notamment les échanges de SMS privés entre von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, qui ont précédé la signature du plus grand contrat de fourniture vaccinale jamais conclu par l’Union européenne. Ces messages, disparus sans explication et jamais rendus publics malgré les demandes répétées de plusieurs eurodéputés, avaient suscité l'indignation de nombreuses ONG et médias.
La CJUE, saisie par plusieurs plaignants — dont l’eurodéputé belge Marc Botenga et l'association Transparency International — a considéré que la Commission a gravement enfreint les obligations de transparence et de bonne gouvernance imposées par les traités européens. Plus encore, elle juge que le refus de fournir les SMS ou de justifier leur suppression constitue une violation manifeste du droit d’accès à l’information publique.
Mais cette décision va bien au-delà du simple symbole. Elle relance toutes les procédures pénales en cours, notamment en Belgique, où une plainte a été déposée devant le parquet de Liège contre von der Leyen pour prise illégale d’intérêt, destruction de preuve et favoritisme. En France, des associations de juristes évoquent même la possibilité d’une saisine de la Cour pénale internationale.
Cette condamnation ouvre une brèche redoutable : jamais une figure de premier plan de l’Union n’avait été ainsi mise en cause dans une affaire mêlant intérêts privés et santé publique à une telle échelle. Le scandale pourrait fragiliser davantage une Commission déjà critiquée pour sa gestion technocratique et distante des citoyens.
Ursula von der Leyen, qui briguait un second mandat, voit désormais son avenir politique sérieusement compromis. Plusieurs chefs d’État hésitent désormais à soutenir sa reconduction.
Et si cette décision marquait surtout un baroud d’honneur d’une institution judiciaire en quête de légitimité ? Derrière le choc politique, certains dénoncent une instrumentalisation juridique orchestrée par des opposants politiques et des États membres hostiles à la Commission. Les SMS effacés sont-ils réellement la preuve d’une malversation, ou simplement la trace d’une gestion de crise improvisée mais efficace ?