Adolescence : les montagnes russes émotionnelles
Colère, tristesse, euphorie… tout peut passer en quelques heures. Les petits changements sont des signaux : retrait dans la chambre, perte d’appétit, nuits sans sommeil ou baisse des notes.
Même un look qui change du jour au lendemain peut révéler un mal-être. Chez nos jeunes, ces indices sont souvent silencieux mais précieux : repérer le moindre signe permet d’ouvrir le dialogue avant que la tempête ne devienne orage.
Seniors : la solitude et le changement de rythme, ennemis du moral
Les signes sont subtils : sourire poli qui cache la tristesse, blagues fréquentes pour masquer le blues, perte d’intérêt pour les activités quotidiennes.
Même le corps parle : fatigue, maux de tête ou tensions musculaires peuvent signaler un mal-être. L’important est de rester attentif, tendre la main, proposer une promenade, un café partagé ou un petit jeu de société improvisé pour réactiver le lien social.
Prévention et petites routines pour réenchanter le quotidien
Petits gestes, grands effets : marcher dans son quartier, préparer une tisane de grand-mère à l’ombre d’un arganier, se lancer dans une activité créative comme la peinture ou la pâtisserie marocaine…
Chaque routine positive booste le moral et l’énergie. Encourager la parole, écouter sans juger, et ne pas hésiter à consulter un professionnel si le mal persiste sont autant d’armes pour protéger son équilibre.
La clé ? Prévenir, rester attentif aux signaux et oser demander de l’aide, pour soi ou pour ceux qu’on aime.
Retrouver un moral solide
Chez les ados comme chez les seniors, il suffit parfois d’un regard attentif ou d’un geste pour que tout s’éclaire.












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