Quand la transparence devient un enjeu :
En effet, WeTransfer avait indiqué dans ses nouvelles conditions que les utilisateurs autorisaient le service à "utiliser [leur] contenu à des fins d'exploitation, de développement, de commercialisation et d'amélioration du service ou de nouvelles technologies ou de nouveaux services, y compris pour améliorer les performances des modèles d'apprentissage automatique".
Cette formulation a suscité de vives inquiétudes, notamment sur la protection des données personnelles et sensibles qui pourraient se trouver dans les fichiers partagés. Certains utilisateurs ont même envisagé de supprimer leurs comptes pour éviter que leurs documents ne servent à l'entraînement d'outils d'IA.
Face à cette polémique, WeTransfer a finalement décidé de revenir sur cette décision. La société a expliqué que la mention de l'apprentissage automatique ne concernait que l'amélioration de la modération de contenu, et non l'exploitation commerciale des fichiers. Pour éviter toute ambiguïté, l'entreprise a revu ses conditions d'utilisation pour les rendre plus claires.
"Nous n'utilisons pas l'apprentissage automatique ou toute autre forme d'intelligence artificielle pour traiter le contenu partagé via WeTransfer, et nous ne vendons pas non plus de contenu ou de données à des tiers", a assuré une porte-parole de WeTransfer auprès de la BBC.
Cette volte-face démontre à quel point la question de l'utilisation des données personnelles est devenue un sujet sensible pour les utilisateurs, soucieux de la protection de leur vie privée face à l'essor de l'IA. WeTransfer a dû s'adapter pour regagner la confiance de sa communauté.
Cette formulation a suscité de vives inquiétudes, notamment sur la protection des données personnelles et sensibles qui pourraient se trouver dans les fichiers partagés. Certains utilisateurs ont même envisagé de supprimer leurs comptes pour éviter que leurs documents ne servent à l'entraînement d'outils d'IA.
Face à cette polémique, WeTransfer a finalement décidé de revenir sur cette décision. La société a expliqué que la mention de l'apprentissage automatique ne concernait que l'amélioration de la modération de contenu, et non l'exploitation commerciale des fichiers. Pour éviter toute ambiguïté, l'entreprise a revu ses conditions d'utilisation pour les rendre plus claires.
"Nous n'utilisons pas l'apprentissage automatique ou toute autre forme d'intelligence artificielle pour traiter le contenu partagé via WeTransfer, et nous ne vendons pas non plus de contenu ou de données à des tiers", a assuré une porte-parole de WeTransfer auprès de la BBC.
Cette volte-face démontre à quel point la question de l'utilisation des données personnelles est devenue un sujet sensible pour les utilisateurs, soucieux de la protection de leur vie privée face à l'essor de l'IA. WeTransfer a dû s'adapter pour regagner la confiance de sa communauté.