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Face à une demande croissante en logements locatifs, le gouvernement marocain annonce la préparation d’un programme ambitieux visant à renforcer l’offre dans ce secteur. Lors d’une intervention mercredi à Rabat, le secrétaire d’État auprès de la ministre de l’Aménagement du territoire national a souligné l’urgence de répondre aux besoins des ménages, notamment dans les zones urbaines à forte densité.

Ce programme, qui s’inscrit dans le cadre de la politique nationale de l’habitat, vise à encourager les investissements privés tout en proposant des incitations fiscales pour les promoteurs immobiliers. Il inclut également des mesures pour garantir l’accès à des logements abordables pour les classes moyennes et les populations vulnérables.

Les défis sont nombreux : spéculation immobilière, manque de régulation et hausse des prix. Cependant, des initiatives similaires dans des pays comme la France ou l’Allemagne montrent qu’un cadre législatif adapté peut transformer le marché locatif en un levier de développement économique et social.

 

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Le ministère de l’Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports a annoncé, mercredi, la poursuite de la régularisation des situations administratives et financières de certains fonctionnaires se rapportant notamment au versement des rémunérations liées à l’embauche, à la titularisation, à l’avancement de grade et à la promotion par l’examen de compétence professionnelle.

Le chef du gouvernement, Aziz Akhannouch, a convoqué une réunion d’urgence avec les dirigeants de la majorité pour apaiser les tensions internes. Des divergences sur la gestion de certains dossiers et des déclarations conflictuelles ont enflammé les relations entre les partis de la coalition. Akhannouch a insisté sur la nécessité d’une coordination efficace pour éviter les querelles inutiles et se concentrer sur les projets gouvernementaux, notamment ceux liés à la Coupe du Monde 2030. 

Un rapport espagnol de l’Institut de gouvernance et d’économie appliquée affirme que plusieurs alertes sanitaires émises par le système européen RASFF contre des produits marocains et espagnols en 2024 étaient infondées. Ces alertes ont eu des conséquences économiques et porté atteinte à la réputation commerciale des produits concernés. En mars, une alerte sur la présence d’hépatite A dans des fraises marocaines a été démentie après enquête. D’autres alertes ont concerné des résidus de pesticides dans des pastèques et des niveaux élevés de sulfates dans des crevettes marocaines. Le rapport souligne que ces incidents peuvent entraîner une hausse des prix et une baisse des importations.

Une immense cargaison s’est échouée sur la plage de “Monica” à Mohammedia, le 28 janvier 2025, après une panne moteur due aux conditions météorologiques extrêmes. La marine royale a rapidement évacué deux marins en détresse et secouru trois autres d’un navire chinois voisin. Malgré les efforts des secours, la cargaison, contenant 14 tonnes de carburant, s’est échouée, entraînant des risques environnementaux et sécuritaires. Une cellule de crise a été mise en place pour surveiller l’impact écologique, tandis que des voix s’élèvent pour renforcer les capacités logistiques face aux catastrophes maritimes accrues par le changement climatique.