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Certaines zones agricoles privées des eaux des barrages tant que les retenues seront faibles  03/11/2022

Les zones agricoles des provinces de Tadla et d’Al Haouz et des régions de Doukkala et Draa-Tafilalet ne seront pas irriguées à partir des barrages avoisinants tant que les taux de remplissage de ces retenues d’eau ne s’amélioreront pas.

L’intervention de Mohammed Sadiki, ministre de l’Agriculture, lors d’une session de questions orales à la Chambre des conseillers, ce mardi 1er novembre, a permis de faire le point sur la dotation à l’irrigation et sur le bilan de la production animalière.

Dans un premier temps, le ministre a indiqué que la campagne agricole actuelle démarrait dans des conditions très difficiles “à cause de la succession des années de sécheresse et du déficit enregistré en matière de ressources hydriques”.

Mohammed Sadiki a précisé que ce “manque de précipitations, dont le déficit atteint 45% par rapport à une année de précipitations normales, impacte la campagne agricole”. À la date du 1er octobre, les précipitations enregistrées ont atteint 21,8 mm.

En conséquence, les barrages agricoles ont un taux de remplissage d’à peine 24% (3,2 MMm³). Soit une baisse de 32% par rapport à l’année dernière. “Au vu de ce stress hydrique, la dotation à l’irrigation atteindra 533 Mm³”, a indiqué Mohammed Sadiki.

“La décision d’arrêter d’irriguer les plantations à partir des barrages agricoles a été appliquée dans les zones agricoles des provinces de Tadla et d’Al Haouz et dans les régions de Doukkala-Abda, Souss-Massa (Issen) et Draa-Tafilalet, en attendant l’amélioration des taux de remplissage des barrages”, ajoute-t-il. Des autorisations pour le pompage à partir des nappes phréatiques seront accordées après dérogation.

Cette décision pourrait mettre en péril la campagne agricole actuelle car les régions concernées sont productrices notamment de fruits, de céréales et de légumineuses. 

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Barceló ouvre son neuvième hôtel à Tanger

Avec cette nouvelle propriété, la chaîne hôtelière des Baléares renforce sa présence au Maroc, où elle gère déjà neuf hôtels dans six villes différentes (Agadir, Casablanca, Fès, Marrakech, Rabat et Tanger).


Barceló continue de se concentrer sur une croissance rapide au Maroc, en combinant des hôtels détenus et gérés.

il y a six mois , l’entreprise a annoncé l’achat et la rénovationde deux hôtels à Casablanca et Rabat avec un investissement prévu de 80 millions d’euros.
Elle a officialisé l’ouverture d’un nouvel hôtel à Tanger, le premier à arborer la marque Occidental au Maroc.
L’établissement, qui compte 170 chambres et possède une catégorie cinq étoiles, est le deuxième de la ville, où Barceló dispose déjà d’un autre hôtel cinq étoiles.
 
Elle est ainsi le groupe d’origine espagnole avec la plus grande présence dans ce pays d’Afrique du Nord, où elle génère 1 400 emplois, à la fois directs et indirects.

Depuis son implantation en 2006, l’entreprise a investi avec ses partenaires locaux plus de 150 millions d’euros dans l’acquisition, la rénovation et le repositionnement de plusieurs hôtels.

La stratégie de l’entreprise, co-présidée par Simón Pedro Barceló, consiste à investir la totalité du résultat opérationnel (400 millions d’euros en 2023) dans des rénovations, des achats et des contrats tout au long de cette année.
 





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