L’élection à l’horizon : espoir ou désespoir ?
Dans une récente discussion animée par Rachid Achachi, des préoccupations majeures ont été soulevées concernant l'orientation actuelle de la politique marocaine. Achachi a mis en avant le manque de vision claire au sein des partis, notamment le Parti de la justice et du développement (PJD), et a averti que cette situation pourrait entraîner des pertes significatives pour le pays. La nécessité d'un débat politique constructif et critique a été soulignée, avec un appel à une meilleure écoute des préoccupations citoyennes.
La fragmentation des partis politiques et la compétition croissante entre figures emblématiques comme Azizou et Abdel Peniran compliquent encore davantage la situation. Les petits partis peinent à se faire entendre dans un environnement où les grandes formations dominent le discours. De plus, la montée des préoccupations sociales, telles que la dégradation du pouvoir d'achat et le chômage, en particulier chez les jeunes, est souvent ignorée dans les débats politiques.
Achachi a également mis en garde contre l’utilisation fictive de la religion dans le discours politique, soulignant la nécessité d’un débat basé sur des idées et des programmes concrets. Alors que le Maroc est à un carrefour historique, la direction que prendra le pays dépendra de la capacité de ses dirigeants à répondre aux véritables préoccupations de ses citoyens. Les prochaines élections législatives pourraient bien être le moment décisif pour redresser la barre ou, au contraire, approfondir la crise de confiance qui menace d’éroder les fondements même de la démocratie marocaine.
La fragmentation des partis politiques et la compétition croissante entre figures emblématiques comme Azizou et Abdel Peniran compliquent encore davantage la situation. Les petits partis peinent à se faire entendre dans un environnement où les grandes formations dominent le discours. De plus, la montée des préoccupations sociales, telles que la dégradation du pouvoir d'achat et le chômage, en particulier chez les jeunes, est souvent ignorée dans les débats politiques.
Achachi a également mis en garde contre l’utilisation fictive de la religion dans le discours politique, soulignant la nécessité d’un débat basé sur des idées et des programmes concrets. Alors que le Maroc est à un carrefour historique, la direction que prendra le pays dépendra de la capacité de ses dirigeants à répondre aux véritables préoccupations de ses citoyens. Les prochaines élections législatives pourraient bien être le moment décisif pour redresser la barre ou, au contraire, approfondir la crise de confiance qui menace d’éroder les fondements même de la démocratie marocaine.