Le Festival Mawazine Rythmes du Monde, qui s’apprête à célébrer sa 20e édition, fait face à une polémique inattendue. L’hommage prévu à Abdel Halim Hafez sous forme d’hologramme divise les opinions, notamment après la réaction catégorique de la famille du légendaire Rossignol brun. Mais les organisateurs restent fermes : ce projet vise à préserver et transmettre l’héritage musical arabe aux nouvelles générations.
Un hommage sous haute technologie
Pour Maroc Cultures, l’association organisatrice de Mawazine, cet hommage dépasse le simple cadre d’un spectacle. L’objectif est clair : offrir une expérience immersive et inédite qui permettrait aux jeunes générations de découvrir Abdel Halim Hafez dans des conditions exceptionnelles. « Cette technologie n’est pas un gadget, c’est un pont entre les générations », explique un communiqué officiel.
Le recours à l’hologramme, déjà utilisé avec succès en 2024 pour un concert hommage à Oum Kalthoum, avait suscité une vague d’émotion et conquis le public marocain. Cette fois, les organisateurs espèrent recréer cette magie avec Abdel Halim Hafez, en mettant en scène ses plus grands classiques dans une performance visuelle et sonore respectueuse de son art.
Un hommage sous haute technologie
Pour Maroc Cultures, l’association organisatrice de Mawazine, cet hommage dépasse le simple cadre d’un spectacle. L’objectif est clair : offrir une expérience immersive et inédite qui permettrait aux jeunes générations de découvrir Abdel Halim Hafez dans des conditions exceptionnelles. « Cette technologie n’est pas un gadget, c’est un pont entre les générations », explique un communiqué officiel.
Le recours à l’hologramme, déjà utilisé avec succès en 2024 pour un concert hommage à Oum Kalthoum, avait suscité une vague d’émotion et conquis le public marocain. Cette fois, les organisateurs espèrent recréer cette magie avec Abdel Halim Hafez, en mettant en scène ses plus grands classiques dans une performance visuelle et sonore respectueuse de son art.
La polémique autour des droits artistiques
Mais tout le monde ne partage pas cet enthousiasme. La famille d’Abdel Halim Hafez a exprimé son refus catégorique de voir l’image et le nom du chanteur utilisés sans autorisation explicite. Dans un communiqué, les ayants droit ont rappelé que tous les droits liés à l’artiste sont détenus par une société unique, et ont menacé de poursuites judiciaires en cas d’exploitation illégale.
Face à ces critiques, Mawazine se veut rassurant. « Nous avons respecté toutes les démarches légales nécessaires », assure l’organisation, qui souligne avoir travaillé avec des conseillers juridiques pour garantir la conformité du projet.
Face à ces critiques, Mawazine se veut rassurant. « Nous avons respecté toutes les démarches légales nécessaires », assure l’organisation, qui souligne avoir travaillé avec des conseillers juridiques pour garantir la conformité du projet.
Un projet qui divise mais fascine
Si cette initiative suscite des débats, elle est également saluée par de nombreux mélomanes comme une prouesse technique et artistique. Sur les réseaux sociaux, les réactions sont partagées : certains applaudissent l’idée de « ressusciter » le Rossignol brun, tandis que d’autres dénoncent une exploitation commerciale de son image.
Pour Mawazine, cet hommage s’inscrit dans une mission plus large : célébrer la richesse de la musique arabe et la transmettre à un public toujours plus diversifié. Avec la présence confirmée d’artistes comme Sherine Abdel Wahab et Ruby, cette édition 2025 promet d’être un événement marquant, malgré les controverses.
Pour Mawazine, cet hommage s’inscrit dans une mission plus large : célébrer la richesse de la musique arabe et la transmettre à un public toujours plus diversifié. Avec la présence confirmée d’artistes comme Sherine Abdel Wahab et Ruby, cette édition 2025 promet d’être un événement marquant, malgré les controverses.