Et si les choux renforçaient l’efficacité de l’immunothérapie ? Une étude révèle le rôle clé d’une molécule crucifère
Une étude de l’Institut Curie et de l’Inserm montre que consommer des choux et autres crucifères pourrait améliorer l’efficacité de l’immunothérapie contre certains cancers.
Les chercheurs ont observé que des souris nourries avec ces légumes répondaient deux à trois fois mieux au traitement que celles qui en étaient privées. Cette différence est attribuée à l’indole-3-carbinol, une molécule présente dans les crucifères et essentielle au bon fonctionnement des cellules immunitaires.
Son absence réduit fortement l’action de l’immunothérapie. Ces résultats ouvrent une piste prometteuse, alors qu’un quart des patients ne répondent pas encore à ces traitements.
Les chercheurs ont observé que des souris nourries avec ces légumes répondaient deux à trois fois mieux au traitement que celles qui en étaient privées. Cette différence est attribuée à l’indole-3-carbinol, une molécule présente dans les crucifères et essentielle au bon fonctionnement des cellules immunitaires.
Son absence réduit fortement l’action de l’immunothérapie. Ces résultats ouvrent une piste prometteuse, alors qu’un quart des patients ne répondent pas encore à ces traitements.












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