Frais d’inscription trop chers, manuels imposés, absence de factures claires
Pour beaucoup de familles marocaines, inscrire son enfant dans une école privée est un vrai sacrifice financier. Mais au-delà des frais déjà élevés, certains établissements rajoutent une couche avec des pratiques que l’OMPC qualifie carrément d’illégales.
Dans son dernier communiqué, l’Observatoire dénonce des frais d’inscription et de réinscription “gonflés”, l’obligation d’acheter manuels et uniformes directement auprès de l’école, et parfois même l’absence de factures claires. Résultat : les parents se retrouvent pris au piège, sans vraiment avoir le choix.
Et ce n’est pas anodin : avec l’inflation et la flambée des prix, ces charges supplémentaires pèsent lourdement sur les budgets familiaux. « Ces pratiques violent la loi sur la protection du consommateur », alerte l’OMPC, qui appelle à un contrôle plus strict et à des sanctions pour les établissements fautifs. L’organisme insiste aussi sur un point essentiel : mieux informer les parents sur leurs droits pour éviter qu’ils se laissent imposer des conditions abusives. Car souvent, la méconnaissance joue en faveur des écoles.
Alors que l’enseignement privé accueille chaque année davantage d’élèves, l’OMPC rappelle que seule la transparence peut restaurer la confiance entre les familles et les établissements. Un appel clair à mettre fin aux abus, pour que l’éducation reste un droit et non un luxe.
Dans son dernier communiqué, l’Observatoire dénonce des frais d’inscription et de réinscription “gonflés”, l’obligation d’acheter manuels et uniformes directement auprès de l’école, et parfois même l’absence de factures claires. Résultat : les parents se retrouvent pris au piège, sans vraiment avoir le choix.
Et ce n’est pas anodin : avec l’inflation et la flambée des prix, ces charges supplémentaires pèsent lourdement sur les budgets familiaux. « Ces pratiques violent la loi sur la protection du consommateur », alerte l’OMPC, qui appelle à un contrôle plus strict et à des sanctions pour les établissements fautifs. L’organisme insiste aussi sur un point essentiel : mieux informer les parents sur leurs droits pour éviter qu’ils se laissent imposer des conditions abusives. Car souvent, la méconnaissance joue en faveur des écoles.
Alors que l’enseignement privé accueille chaque année davantage d’élèves, l’OMPC rappelle que seule la transparence peut restaurer la confiance entre les familles et les établissements. Un appel clair à mettre fin aux abus, pour que l’éducation reste un droit et non un luxe.












L'accueil

















