Graisse et cerveau : une question d’emplacement
Une étude publiée dans Nature Mental Health montre que ce n’est pas seulement la quantité de graisse corporelle qui compte, mais surtout son emplacement.
En analysant les données de plus de 40 000 personnes, les chercheurs ont observé que la graisse viscérale, notamment autour des organes, est liée à des altérations plus marquées de la structure et des fonctions cérébrales, avec des effets sur la mémoire et le raisonnement.
La graisse des bras, du tronc ou des jambes a aussi montré des associations distinctes avec l’atrophie corticale et la connectivité neuronale. Si ce lien reste associatif et non causal, ces résultats soulignent que l’IMC seul est insuffisant pour évaluer les risques cognitifs liés à l’obésité.
En analysant les données de plus de 40 000 personnes, les chercheurs ont observé que la graisse viscérale, notamment autour des organes, est liée à des altérations plus marquées de la structure et des fonctions cérébrales, avec des effets sur la mémoire et le raisonnement.
La graisse des bras, du tronc ou des jambes a aussi montré des associations distinctes avec l’atrophie corticale et la connectivité neuronale. Si ce lien reste associatif et non causal, ces résultats soulignent que l’IMC seul est insuffisant pour évaluer les risques cognitifs liés à l’obésité.












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