Une ambition renouvelée pour l’industrie nationale
Dès l’ouverture, Hicham Rahioui Idrissi a donné le ton de cette nouvelle édition en exprimant une vision affirmée et une ambition renouvelée pour l’industrie marocaine. Devant un auditoire composé notamment du ministre Ryad Mezzour, du président de la région Casablanca-Settat M. Abdellatif Maâzouz, de diplomates et de représentants des fédérations professionnelles, il a salué « l’engagement collectif autour d’un objectif partagé : faire des zones industrielles durables un véritable levier de développement territorial et d’intégration aux chaînes de valeur mondiales. »
Après Tanger et sa thématique consacrée à la souveraineté industrielle, l’édition 2025 met en lumière un autre pilier fondamental : les zones industrielles durables. Ce choix stratégique incarne selon lui « la volonté nationale de construire des territoires productifs, équilibrés, écologiquement responsables et parfaitement intégrés aux chaînes de valeur mondiales ».
Le PDG d’Industrie du Maroc Magazine a par ailleurs souligné la richesse du programme scientifique de cette édition, conçu pour donner la parole à ceux qui imaginent, financent, développent et gèrent ces zones industrielles nouvelle génération. Les thématiques abordées couvrent des défis concrets comme l’accès au foncier, la connectivité logistique, la transition énergétique, la formation et la compétitivité territoriale.
Il a également annoncé la tenue de la cérémonie des Industry Meeting Awards, destinée à récompenser les projets industriels les plus innovants et responsables du continent.
Enfin, il a rappelé l’engagement historique du média qu’il dirige, qui se traduit aujourd’hui par une nouvelle signature : « Le meilleur de l’économie Made in Morocco », en remerciant tous les partenaires mobilisés autour de cette dynamique collective.
Ryad Mezzour : « L’énergie, énergie, énergie »
Prenant la parole à son tour, le ministre de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour, a livré une intervention directe et structurée, appelant à une mobilisation générale autour d’un facteur-clé : l’énergie.
Dans un contexte international marqué par les tensions géopolitiques, les transitions technologiques et les impératifs environnementaux, le ministre a rappelé que « les difficultés sont souvent des opportunités », appelant à transformer les mutations actuelles en leviers de développement.
Il a articulé son propos autour de trois piliers majeurs :
La vision stratégique de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, garante d’un développement économique, social et environnemental équilibré.
La jeunesse marocaine, longtemps sous-estimée mais aujourd’hui au cœur de la compétitivité industrielle.
L’accès à une énergie renouvelable, abondante et bon marché, qui constitue selon lui le véritable catalyseur de performance.
Le ministre a appelé à dépasser les discussions classiques sur le triptyque formation, financement, foncier pour se concentrer sur une urgence nationale : « Parlez-moi du E : énergie, énergie, énergie. » Et de poursuivre : « Il faut qu’on soit tous mobilisés pour doubler, voire tripler notre infrastructure de transport d’énergie. »
Une industrie en pleine transformation
M. Mezzour a également mis en avant les progrès significatifs de l’industrie nationale, avec notamment la production d’un million de véhicules par an, l’émergence d’une filière des matériaux de batteries, ainsi que les perspectives de croissance : un chiffre d’affaires triplé pour l’industrie automobile avec les batteries, et une industrie aéronautique multipliée par quatre d’ici 2030.
Il a conclu en insistant sur l’urgence énergétique : « Il y a une transformation énorme de notre industrie. Mais tout le reste ne pourra suivre que si nous libérons ces capacités à transporter et à fournir de l’énergie propre partout. »
Dès l’ouverture, Hicham Rahioui Idrissi a donné le ton de cette nouvelle édition en exprimant une vision affirmée et une ambition renouvelée pour l’industrie marocaine. Devant un auditoire composé notamment du ministre Ryad Mezzour, du président de la région Casablanca-Settat M. Abdellatif Maâzouz, de diplomates et de représentants des fédérations professionnelles, il a salué « l’engagement collectif autour d’un objectif partagé : faire des zones industrielles durables un véritable levier de développement territorial et d’intégration aux chaînes de valeur mondiales. »
Après Tanger et sa thématique consacrée à la souveraineté industrielle, l’édition 2025 met en lumière un autre pilier fondamental : les zones industrielles durables. Ce choix stratégique incarne selon lui « la volonté nationale de construire des territoires productifs, équilibrés, écologiquement responsables et parfaitement intégrés aux chaînes de valeur mondiales ».
Le PDG d’Industrie du Maroc Magazine a par ailleurs souligné la richesse du programme scientifique de cette édition, conçu pour donner la parole à ceux qui imaginent, financent, développent et gèrent ces zones industrielles nouvelle génération. Les thématiques abordées couvrent des défis concrets comme l’accès au foncier, la connectivité logistique, la transition énergétique, la formation et la compétitivité territoriale.
Il a également annoncé la tenue de la cérémonie des Industry Meeting Awards, destinée à récompenser les projets industriels les plus innovants et responsables du continent.
Enfin, il a rappelé l’engagement historique du média qu’il dirige, qui se traduit aujourd’hui par une nouvelle signature : « Le meilleur de l’économie Made in Morocco », en remerciant tous les partenaires mobilisés autour de cette dynamique collective.
Ryad Mezzour : « L’énergie, énergie, énergie »
Prenant la parole à son tour, le ministre de l’Industrie et du Commerce, Ryad Mezzour, a livré une intervention directe et structurée, appelant à une mobilisation générale autour d’un facteur-clé : l’énergie.
Dans un contexte international marqué par les tensions géopolitiques, les transitions technologiques et les impératifs environnementaux, le ministre a rappelé que « les difficultés sont souvent des opportunités », appelant à transformer les mutations actuelles en leviers de développement.
Il a articulé son propos autour de trois piliers majeurs :
La vision stratégique de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, garante d’un développement économique, social et environnemental équilibré.
La jeunesse marocaine, longtemps sous-estimée mais aujourd’hui au cœur de la compétitivité industrielle.
L’accès à une énergie renouvelable, abondante et bon marché, qui constitue selon lui le véritable catalyseur de performance.
Le ministre a appelé à dépasser les discussions classiques sur le triptyque formation, financement, foncier pour se concentrer sur une urgence nationale : « Parlez-moi du E : énergie, énergie, énergie. » Et de poursuivre : « Il faut qu’on soit tous mobilisés pour doubler, voire tripler notre infrastructure de transport d’énergie. »
Une industrie en pleine transformation
M. Mezzour a également mis en avant les progrès significatifs de l’industrie nationale, avec notamment la production d’un million de véhicules par an, l’émergence d’une filière des matériaux de batteries, ainsi que les perspectives de croissance : un chiffre d’affaires triplé pour l’industrie automobile avec les batteries, et une industrie aéronautique multipliée par quatre d’ici 2030.
Il a conclu en insistant sur l’urgence énergétique : « Il y a une transformation énorme de notre industrie. Mais tout le reste ne pourra suivre que si nous libérons ces capacités à transporter et à fournir de l’énergie propre partout. »












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