CMI veut faire du paiement électronique un réflexe marocain
Pour relever ce défi, le Centre Monétique Interbancaire (CMI) déploie une stratégie ambitieuse visant à démocratiser les paiements numériques. Rachid Saihi, directeur général du CMI, explique que l’objectif est double : encourager les utilisateurs déjà équipés à effectuer davantage de transactions tout en intégrant les populations non bancarisées dans l’écosystème financier. Les fintechs jouent également un rôle clé en apportant des solutions innovantes adaptées aux besoins locaux.
Les efforts du CMI portent leurs fruits : le secteur enregistre une augmentation annuelle de 15 % en valeur et de 20 à 25 % en volume de transactions. Cette croissance est soutenue par la digitalisation croissante des entreprises et des administrations, ainsi que par une amélioration continue des canaux de distribution. Pour accompagner cette dynamique, le CMI prévoit de lancer une plateforme multi-acquéreur en mai 2025, permettant une concurrence accrue sur le marché du paiement par carte.
En parallèle, des mesures concrètes ont été prises pour réduire les coûts des transactions. Le taux d’interchange, par exemple, a été abaissé de 1,2 % à 0,65 %, offrant des économies significatives aux commerçants. Ces initiatives, combinées à un plan d’investissement ambitieux, visent à rendre les paiements électroniques plus accessibles, plus abordables et plus attractifs pour les consommateurs marocains.
Les efforts du CMI portent leurs fruits : le secteur enregistre une augmentation annuelle de 15 % en valeur et de 20 à 25 % en volume de transactions. Cette croissance est soutenue par la digitalisation croissante des entreprises et des administrations, ainsi que par une amélioration continue des canaux de distribution. Pour accompagner cette dynamique, le CMI prévoit de lancer une plateforme multi-acquéreur en mai 2025, permettant une concurrence accrue sur le marché du paiement par carte.
En parallèle, des mesures concrètes ont été prises pour réduire les coûts des transactions. Le taux d’interchange, par exemple, a été abaissé de 1,2 % à 0,65 %, offrant des économies significatives aux commerçants. Ces initiatives, combinées à un plan d’investissement ambitieux, visent à rendre les paiements électroniques plus accessibles, plus abordables et plus attractifs pour les consommateurs marocains.